LE COMBAT DE SYLVIE HEFFINGER POUR PROTÉGER SES ENFANTS, VICTIMES DE LA PÉDOPHILIE DE RÉSEAUX ET DE MALTRAITANCES DANS LE CADRE DE L’AIDE SOCIALE À L’ENFANCE.

LE COMBAT D’UNE MÈRE POUR PROTÉGER SES ENFANTS, VICTIMES DE LA PÉDOPHILIE DE RÉSEAUX ET DE MALTRAITANCES DANS LE CADRE DE L’AIDE SOCIALE À L’ENFANCE.

(Ci-dessous, Sylvie Heffinger en 2013, devant le tribunal de Créteil. Elle exposait la problématique de la pédophilie de réseaux, dans une vidéo du Cercle des Volontaires toujours visible sur You Tube en allant sur le lien https://youtu.be/Dc30qP7dVjA .)

Ci-dessous : extrait d’un tract de 2014.

À cette époque l’association WANTED PEDO semblait décidée à combattre la pédocriminalité organisée. Depuis, les choses ont évolué, et cette asso est discréditée, des familles victimes de la pédocriminalité portant à son encontre des accusations concordantes.

Ci-dessous, deux tracts plus récents : ils ont été distribués ou affichés près des tribunaux où se traitaient des affaires pédocriminelles.

​LE COMBAT D’UNE MÈRE DE FAMILLE POUR RETROUVER SES ENFANTS VICTIMES DE LA PÉDOPHILIE DE RÉSEAUX.

SOMMAIRE : 

Partie 1 : Introduction, et APPEL DE SYLVIE HEFFINGER AUX PERSONNES DE BONNE VOLONTÉ, POUR COMBATTRE LA PÉDOCRIMINALITÉ DE RÉSEAUX (multimédia).

Partie 2 : Photos, et quelques généralités sur la pédocriminalité de réseaux.

Partie 3. Présentations.
Partie 4. Extraits du tract d’août 2016, qui résumait mon affaire.
Partie 5. Nouvelles informations : extraits du tract de septembre 2016.
Partie 6. Docu-fiction : un « cas typique » pour mieux comprendre la réalité.
Partie 7.Mes enfants et moi : résumé simple pour comprendre les souffrances et les luttes d’une famille brisée.
Partie 8. Où en est-on, début 2017 ? Une situation critique et inhumaine… 

 Partie 9. Je refuse de participer à une énième comédie judiciaire et administrative !

 Partie 10. Se méfier pour survivre  :  déjouer les manœuvres continuelles des administrations de la haine… 

 Partie 11. La colombe s’est envolée ! Où je m’exile en Suisse, alors qu’une administration hors-la-loi tente m’interner. Naissance d’un RÉSEAU DE RÉSISTANCE. 

 Partie 12. JUSTICE FRANÇAISE ET PÉDOPHILIE : extraits d’UN DOCUMENT OFFICIEL du Rapporteur Spécial de l’ONU. Cassette de Zandwoort : ce que le rapporteur n’a pas dit…

Partie 13. Un enlèvement d’enfant se prépare !

Partie 14. Mon procès pour diffamation est pour le 1er juin : à quand celui de l’ASE 94 ? Une Justice à deux vitesses…

Partie 15. EN LUTTE CONTRE UN RÉSEAU DE PÉDOPHILIE ! : des faits, des noms, des dates pour retracer les batailles d’une guerre qui est aussi celle de toutes les familles d’enfants maltraités.

Partie 16. L’Espoir . Comment faire pour améliorer les choses ?

PARTIE 1. 

INTRODUCTION, et APPEL DE SYLVIE HEFFINGER AUX HOMMES ET AUX FEMMES DE BONNE VOLONTÉ, POUR COMBATTRE LA PÉDOCRIMINALITÉ DE RÉSEAUX (document multimédia). 

Sylvie Heffinger est une mère de famille qui se bat depuis des années pour sauver ses ENFANTS, mais aussi tous les enfants qui peuvent eux aussi être victimes de maltraitances, et spécialement de VIOLS ORGANISÉS dans le cadre de l’AIDE SOCIALE À L’ENFANCE du VAL-DE-MARNE (ASE 94).

 Handicapée physiquement mais d’un courage obstiné, Sylvie impose le respect par sa constance face à toutes les épreuves inhérentes à son combat : angoisse à cause du sort de ses enfants, persécutions et harcèlements venant de certains fonctionnaires complices des réseaux de pédophilie, déni permanent de ses Droits et des Droits de ses enfants, précarité matérielle entretenue par le blocage de certains dossiers médicaux ou administratifs, etc. 

 En effet, les réseaux qui gèrent la prostitution enfantine sont très puissants :  il s’agit d’une véritable SECTE dont les chefs ont le bras long, et dont l’autorité dans la politique et dans l’administration est insoupçonnée du grand public. 

 Véritable administration officieuse, les réseaux pédocriminels parviennent à faire perdre leur emploi, voire leur logement et jusqu’à leur liberté, aux personnes qui s’opposent à ce que l’on prostitue des enfants : Sylvie Heffinger vit cela elle-même, et des parents de plus en plus nombreux témoignent comme elle du martyre de leurs enfants violés par des notables intouchables, pendant qu’eux-mêmes sont victimes d’attaques en Justice ou de persécutions administratives parce qu’ils dénoncent l’horreur. 

 Mais une Résistance s’organise pour défendre les enfants ! Sylvie Heffinger y participe activement, et la publicité faite autour de son affaire personnelle et de son combat pour sauver aussi les autres enfants, a encouragé de nombreux parents à s’unir pour faire cesser l’inacceptable. 

 Vous trouverez dans ce site des articles, soit relatifs à l’affaire de Sylvie Heffinger, soit d’une portée plus générale : vous pouvez les lire dans l’ordre que vous voulez, ils apportent des informations utiles aux Citoyens et aux Citoyennes qui refusent l’oppression et le déclin. 

L’APPEL : vous en trouverez la transcription intégrale sur lovewelcome2.wordpress.com, et vous pouvez y accéder sur Youtube en cliquant sur le lien https://youtu.be/VcTN0HDnIM8 .

(Ci-dessous, Sylvie Heffinger en « tenue de combat », en 2015, tenant son bébé Leeroy-Michel)

PARTIE 2.

 PHOTOS, et QUELQUES GÉNÉRALITÉS SUR LA PÉDOCRIMINALITÉ DE RÉSEAUX.

 Ce site s’ouvre sur des photos montrant Sylvie Heffinger, ses enfants, et trois tracts qui furent utilisés pour la soutenir dans sa lutte contre les réseaux de pédophilie. 

 Les affaires de pédocriminalité étant généralement fort complexes, ces tracts permettent de comprendre l’essentiel, en peu de mots (voir les parties 3 et 4) : ils ont été distribués  par Sylvie Heffinger et ses sympathisants, pour informer le grand public sur les dangers que court l’enfance aujourd’hui.

La « pédophilie », ou pour mieux dire la PÉDOCRIMINALITÉ, est normalement réprimée par la Loi, et les pédophiles isolés peuvent subir de lourdes peines de prison à cause de leurs crimes – même si cela ne répare pas une enfance brisée pour leur victime…

Toutefois les RÉSEAUX DE « PÉDOPHILIE » (réseaux pédocriminels) parviennent à assurer l’impunité de leurs membres, en perturbant le fonctionnement normal de la Justice et de la Protection de l’Enfance, car ils placent leurs agents à des postes clés des administrations  – spécialement, la Justice et le Travail Social. 

Voici ce qui en résulte : 

– Des parents ayant apporté la preuve médicale d’un viol subi par leur enfant, se retrouvent condamnés pour « dénonciation calomnieuse »à l’encontre du violeur ! 

– Si le violeur était l’un des parents de l’enfant violé, la Justice confie l’enfant au parent violeur, tandis que le parent bienveillant en perd la garde, et est déchu de ses Droits ! 

– Certains parents bienveillants, ayant reçu de la Justice un Droit de visite ou de garde alternée,  ont même été condamnés ensuite pour « non-présentation » ou « enlèvement d’enfant » : leur enfant s’étant  plaint de nouvelles violences ou de nouveaux abus sexuels dûment certifiés par un médecin, le parent bienveillant avait pourtant fait son devoir en éloignant la victime de son bourreau !

– Lorsque des magistrats corrompus travaillent pour les réseaux pédocriminels, ils abusent de leur fonction pour prendre des décisions absurdes, contraires aux preuves, contraires à l’intérêt des enfants, et souvent contraires au Droit !

 Ils profitent de l’interdiction dont est frappé le fait de « commenter une décision de Justice ». Cette interdiction est une véritable honte ! : une Justice honnête a-t-elle quelque chose à craindre des commentaires de ses décisions par le Peuple ?

– Des procès inéquitables bafouent le Droit à un débat contradictoire, ignorent les déclarations des enfants, et négligent les preuves qu’un parent bienveillant a pu apporter pour démontrer qu’un enfant a subi des abus sexuels ! 

– La Justice est trompée par des psychologues incompétents qui abusent du Syndrome d’Aliénation Parentale : le parent pédocriminel accuse le parent bienveillant de vouloir le discréditer auprès de l’enfant ! Au lieu d’examiner les preuves médicales et d’écouter la parole des enfants, certains magistrats se fient à des théories inventées par des gens comme Richard Gardner qui était un pro-pédophile ! (Il a été annoncé qu’il il ne serait bientôt plus tenu compte de ce fameux « syndrome » : nous attendons…)

– Lorsque des membres des réseaux pédocriminels infiltrent une section locale de l’AIDE SOCIALE À L’ENFANCE (ASE), celle-ci prend n’importe quel prétexte pour retirer leurs enfants à des familles fragilisées : femmes seules avec leurs enfants, parents au chômage, père alcoolique, famille récemment immigrée en France et n’en possédant pas encore la langue, etc. Le vote récent de l’interdiction de la fessée donnera un prétexte de plus à l’administration pour de tels retraits d’enfants, alors qu’un rapport officiel reconnaissait récemment que la moitié des placements sont abusifs !

Précisons tout de même que ce n’est pas l’ensemble des magistrats ou des travailleurs sociaux, que visent ces critiques : la corruption de quelques-uns ne saurait discréditer ceux qui se montrent dignes de leur charge, et qui veulent réellement protéger l’Enfance. Mais les corrompus ont le bras long…

 – Des enfants placés dans des Centres de l’État, y ont subi des abus sexuels, et leurs parents ont été parfois internés pour s’en être plaints, voire pour avoir simplement  voulu faire examiner leurs enfants par un médecin ! Certains enfants sont même morts suite à des maltraitances liées à de tels Centres, sans qu’il y ait de suite judiciaires significatives !

– Certains placements d’enfants, certains retraits d’enfants à leurs parents, prennent la forme de véritables rapts ! Des membres des forces de l’ordre doivent parfois apporter l’appui de la force publique à des décisions illégales ! 

– l’Aide Sociale à l’Enfance accorde parfois sa confiance à des imposteurs : faux pédiatres, faux psychologues, faux médecins « spécialistes » pourtant sans les diplômes ni les titres correspondants, fausses associations se prévalant d’un agrément officiel qu’elles n’ont pas réellement ! 

– De plus, et malgré la bonne volonté d’un certain nombre de travailleurs sociaux dévoués et compétents, une grave anomalie a de quoi jeter la suspicion sur la nature-même de l’Action Sociale à l’Enfance : comment se fait-il qu’elle reçoive des primes quand un enfant est retiré de sa famille pour placé être placé ? Seuls un mérite exceptionnel, ou la pénibilité d’une tâche, justifient des primes ! 

Se pourrait-il qu’une nouvelle aristocratie bénéficie de privilèges spéciaux et de rentes que n’ont ni les autres fonctionnaires, ni les simples citoyens ? 

 Et ces sommes n’ont-elles pas pour but de faire taire la conscience de ceux qui bafouent les Droits de l’Enfant ? Pour servir quels intérêt ?…

 De tels faits sont dénoncés par un nombre croissant de familles qui exigent le respect de leurs Droits.

PARTIE 3.

PRÉSENTATIONS. 

Bonjour !

Je m’appelle Sylvie Heffinger, et je suis née à Paris en 1972 : je dois mon nom à mon père, d’origine alsacienne.
Mes parents m’ont insufflé l’amour de mon prochain, et le sens de l’Honneur.

J’ai longtemps vécu dans les grands ensembles populaires de la région parisienne.
Je suis artiste : parolière de chansons, et chanteuse.

Sur mes cinq enfants, il sera surtout question que de trois d’entre eux, qui sont entre l’enfance et l’adolescence : l’aîné Ritchy qui a 16 ans, et ses deux sœurs jumelles Celly et Stacy qui ont 14 ans (en 2016).
Ce sont des enfants sympathiques et bien éveillés, mais malheureux d’être séparés de moi.

(Ci-dessous, Celly, Ritchie, et Stacy en 2008. D’un naturel gai, ils sont pourtant accablés par des circonstances qui échappent à leur volonté : ils sont las d’être trimbalés de familles d’accueil en foyers, et vice-versa…)

Ma fille Stacy est en danger de mort !

(Ci-dessous, Stacy en 2017.)

Je me bats pour sauver notre vie familiale, pour sauver la vie de Stacy, mais aussi pour sauver bien d’autres enfants menacés par les RÉSEAUX DE PÉDOPHILIE.

Le chapitre 6 résume très grossièrement une partie de notre histoire après l’avoir située dans son contexte, et le chapitre 7 précise les faits et les personnes impliquées.

(Note : les chapitres sont plus ou moins indépendants, chacun adopte une approche particulière, et vous pouvez les lire dans l’ordre que vous voulez.
Les tracts contiennent les informations principales sous une forme concise.)

PARTIE 4.
EXTRAITS DU TRACT D’AOÛT 2016, QUI RÉSUMAIT MON AFFAIRE.

« AIDEZ SYLVIE À RETROUVER SES ENFANTS CELLY, STACY, RITCHY, PLACÉS ABUSIVEMENT : 

VOUS CONTRIBUEREZ À VAINCRE LES RÉSEAUX DE PÉDOPHILIE ! 

  Sylvie Heffinger se bat depuis 2010 pour retrouver ses filles jumelles Celly et Stacy âgées de 14 ans, et son fils Ritchy âgé de 16 ans, victimes de très graves maltraitances.
En particulier sa fille Stacy subit régulièrement des ABUS SEXUELS dans des centres pour jeunes handicapés rattachés à l’Aide Sociale pour l’Enfance du Val-de-Marne (ASE 94). On la tue peu à peu en lui administrant une drogue qui l’abrutit.

Comme de nombreuses mères de famille ayant dénoncé des ABUS SEXUELS commis sur leurs ENFANTS dans des CENTRES DE L’ÉTAT, Sylvie a subi des violations de ses Droits : on l’a internée pour la faire taire, avant qu’elle ne soit reconnue saine d’esprit. Séparée d’un compagnon violent, Sylvie avait retrouvé la garde de Celly et Ritchie : l’administration les lui a retirés de nouveau, sanctionnant cette mère de famille qui voulait que des médecins examinent ses enfants maltraités.

Si certains fonctionnaires sont complices des puissants RÉSEAUX DE PÉDOPHILIE actifs dans des Centres de l’État, le maire de Créteil Laurent Cathala et Sandrine Bernard qui est conseillère municipale à Ivry-sur-Seine (élue petite enfance), ont tenté de soutenir Sylvie contre ces criminels.
AIDEZ SYLVIE : SON COMBAT DÉFEND AUSSI VOS ENFANTS !

CONTACT : rootssoldjah@gmail.com
SITES : sylvieetsesenfants2.wordpress.com ,Groupe Facebook APCS Résistance (mères de victimes) , cellystacyritchy.org … (…)

AUDIENCE AU TRIBUNAL DE CRÉTEIL
MERCREDI 17 AOÛT 2016…(…)

PARTIE 5.
NOUVELLES INFORMATIONS : EXTRAITS DU TRACT DE SEPTEMBRE 2016.

Voici d’abord une partie de ce qui changeait par rapport au tract du mois d’août :

« Sous prétexte d’une surcharge des Centres français, d’autres enfants sont envoyés en Belgique : leurs parents ne pouvant pas les joindre, il y a tout lieu de croire qu’ils intègrent les RÉSEAUX DE PÉDOPHILIE INTERNATIONAUX, avant d’être tués…

Les puissants RÉSEAUX DE PÉDOPHILIE dans l’Administration font couramment interner des mères célibataires ou divorcées, quand elles protestent après avoir constaté des maltraitances sur leurs enfants, alors même que des médecins l’ont constaté.

…..
Vous pouvez aussi contacter Sylvie au Palais de Justice de Paris : elle répond d’avoir accusé le sénateur [Christian] Favier et [Catherine Dellouche] l’ex-directrice de l’ASE d’Yvry, de faits graves envers l’Enfance. » (…)

(C-dessous, Chrisitian Favier et  Catherine Dellouche : Belzébuth et son âme damnée…)

Commentons ces paragraphes.

Il est d’abord question des RÉSEAUX DE PÉDOPHILIE INTERNATIONAUX : comme la drogue, la PÉDOCRIMINALITÉ est une source de revenus importants, ce qui explique que de puissantes MAFIAS s’y investissent également.

Désorganisée par la corruption de l’État, la BELGIQUE est une zone de non-Droit où ces mafias évoluent librement.

Mais il y a plus !

Les SERVICES SECRETS de différentes nations utilisent la Pédocriminalité comme une « monnaie d’échange » : elle permet d’obtenir des CONTRATS ÉCONOMIQUES avantageux, notamment auprès de pays riches en matériaux précieux et en énergie fossile, quand leurs tyrans sont affectés de travers sexuels.
– La pédocriminalité permet de dicter les décisions des élus : ceux-ci favorisent alors leurs commanditaires étrangers, au besoin en votant des lois. Certaines multinationales obtiennent ainsi des monopoles déguisés sur un marché donné, certains États nationaux accroissent leur influence politique sur des pays vassaux, etc.

Cette utilisation politique de la pédocriminalité fut notamment mise au jour par l’examen de la CASSETTE DE ZANDWOORT : l’activiste belge MARCEL VERVLOESEM et la princesse JACQUELINE DE CROŸ avaient montré comment cette cassette vidéo, mélange de « montages » et de témoignages réels, avait été employée par l’ex-KGB pour faire chanter des politiciens européens.

La partie authentique de la Cassette de Zandwoort fut notamment utilisée par la police suisse pour identifier des pédocriminels et leurs victimes.

Par la suite, des nations impliquées par ce redoutable document, tentèrent de faire croire à son inauthenticité.
Une manipulation fit passer Marcel Vervloesem pour un pédocriminel, et il fut emprisonné dans des conditions inhumaines.
L’ex-KGB introduisit aussi frauduleusement le nom de la Princesse Jacqueline de Croÿ dans une liste détenue par les Anonymous : ils tentèrent ainsi de discréditer cette activiste parmi les plus respectables, en la présentant comme complice des Réseaux qu’elle combat courageusement.
Nombreuses sont les personnes pouvant témoigner du dévouement obstiné de cette dame chrétienne.qui ne compte ni son temps ni ses dépenses pour défendre la cause des personnes les plus vulnérables.
Elle n’y gagne que son Honneur, et notre reconnaissance.

La suite de l’extrait du tract montrait en effet que les réseaux pédocriminels ciblent des personnes vulnérables : mères célibataires ou divorcées, fréquemment au chômage, immigrés récents connaissant mal leur pays d’accueil, etc.

Les pédocriminels de réseaux sont soutenus par de puissantes relations, relevant de mafias infiltrées dans les partis politiques, ou de cercles initiatiques dont les rituels comportent des pratiques sexuelles particulières.

Le sénateur Christian Favier et l’ex-directrice de l’Aide Sociale à l’Enfance d’Ivry-sur-Seine Catherine Dellouche, ont chacun déposé une plainte pour « diffamation », contre Sylvie Heffinger.
Cette mère de famille les a en effet dénoncés, pour avoir couvert de nombreuses maltraitances d’enfants dans les Foyers de l’ASE du Val-de-Marne dont le sénateur a la responsabilité.

Une plainte précédente du sénateur contre Sylvie avait été classée sans suite, et Catherine Delouche avait été mutée…

De son côté Sylvie Heffinger et des personnes défendant sa cause ont recueilli de nombreux témoignages de familles qui corroborent ses dires.
Un soutien du public lui est pourtant nécessaire, car les personnes mises en causes peuvent s’abriter derrière la puissance publique pour échapper à des poursuites légitimes.

PARTIE 6.
DOCU-FICTION : UN « CAS TYPIQUE » POUR MIEUX COMPRENDRE LA RÉALITÉ. 

On estime à un millier le nombre d’enfants disparaissant chaque année en France : en moyenne un par mois dans chaque département.

La « pédophilie », ou pour mieux dire la PÉDOCRIMINALITÉ individuelle est un phénomène sur lequel la société a peu de prise : tout au plus certaines règles de prudence permettraient-elles de réduire le nombre de « passages à l’acte »…

Par contre la PÉDOCRIMINALITÉ DE RÉSEAUX N’EST PAS UNE FATALITÉ ! Elle fait probablement beaucoup plus de victimes que la pédocriminalité individuelle, et l’on pourrait l’éradiquer en détruisant les RÉSEAUX qui l’organisent !

Si le lien est encore actif, vous trouverez un exposé très complet sur ce sujet en allant sur http://amandine-et-yan.tk . (Un autre site inachevé, liberezamandine.wordpress.com , a été constitué pour soutenir Yan Lopez.)
Sachez toutefois que les réseaux pédocriminels disposent souvent de moyens puissants pour faire supprimer les sites contenant des informations sensibles…

Voici une histoire dont tous les faits sont vrais : ils ont été empruntés à plusieurs affaires qui se ressemblent : seuls les noms sont inventés.
(Ici c’est la mère et ses enfants qui sont les victimes, mais il pourrait aussi bien s’agir d’un père et de sa fille.)

Françoise est mère de deux enfants, Nina qui a dix ans, et Willy qui a huit ans.
Donatien, leur père avec qui elle est mariée, s’absente régulièrement du foyer conjugal pour aller à des « réunions » dont il ne dit pas la nature : Françoise le soupçonne d’avoir une maîtresse, mais n’a aucune certitude… Donatien devient un peu alcoolique et surtout violent avec elle : elle divorce.

Françoise obtient la garde alternée de ses enfants Nina et Willy, sans trop de difficulté car elle travaille, et parce que son nouveau domicile est proche de celui de Donatien.

Elle constate après quelques mois que les enfants reviennent parfois un peu « bizarres » quand c’est à son tour de garder les enfants : elle soupçonne leur père de les avoir fait boire.
Elle téléphone à Donatien, qui s’excuse vaguement…

Un jour, les enfants reviennent en déclarant qu’ils ne veulent plus revoir leur père !
Nina paraît à moitié droguée, et raconte des scènes étranges qui ressemblent à un délire ou aux réminiscences d’un film d’horreur : enfants attachés nus sur un autel de sacrifice, personnages cagoulés prononçant des incantations étranges…
Willy raconte avoir subi des sévices : il parvient à les décrire à peu près avec le vocabulaire de son âge, et Françoise comprend que le gamin a subi un abus sexuel !

Le lendemain matin, Françoise emmène ses enfants Nina et Willy chez un médecin, qui conclut à une forte probabilité d’abus sexuel sur Willy, et constate des hématomes sur les bras et sur les jambes de Nina où il relève ce qui pourrait être des traces de ligatures.

Les propos des enfants lui paraissent étranges, sans qu’il puisse affirmer qu’il s’agirait d’affabulations : il est généraliste, pas psychologue.

Forte d’un certificat médical bientôt confirmé par les diagnostics d’une pédo-psychiatre et d’un médecin spécialisé des hôpitaux, Françoise dépose une plainte contre X au commissariat de son quartier, pour violences et abus sexuels d’un adulte à l’encontre de ses enfants.

Mais le traitement de la plainte par la Justice traîne en longueur… Or Donatien avait dit un jour à Françoise, qu’il avait des magistrats influents parmi ses relations : elle commence à avoir des soupçons…

Elle perd son emploi, sans explication très convaincante de son entreprise…
Françoise va voir une assistante sociale, madame Van de Helle, qui dans un premier temps l’accueille bien et écoute son histoire. 

 Mais à la seconde visite, Van de Helle accueille Françoise avec une politesse un peu froide. Au cours de l’entretien, elle laisse échapper quelques détails sur une scène de ménage dont Françoise ne se souvient pas lui avoir parlé…

Le procès a lieu, mais inexplicablement il tourne mal pour Françoise : malgré les preuves qu’elle apportait, Donatien est relaxé par le Tribunal !

 Après d’autres procédures, la garde de Nina et de Willy est retirée à Françoise, et confiée à Donatien.

Françoise ne peut plus voir ses enfants que deux fois par mois, dans un lieu agréé par la Justice.

Un jour, Nina et Willy se plaignent de nouvelles violences de la part du père et d’amis à lui : elle refuse de les laisser à l’administration, part en cavale avec eux, puis se réfugie chez une cousine.

Mais la Gendarmerie est alertée, et vient l’arrêter : Françoise explique aux Gendarmes qu’elle a voulu soustraire les enfants à des violences, et ils reçoivent sa déposition.
Pourtant ils doivent rendre l’enfant à son père, et Françoise n’échappe à la prison que grâce à son avocat, qui hésite cependant à attaquer franchement la partie adverse : aurait-il peur ?

Une femme-gendarme avait semblé comprendre  la situation : elle  avait remis à Françoise les coordonnées d’un commissaire de police qui occupait sa retraite en combattant la PÉDOCRIMINALITÉ DE RÉSEAU.

Françoise fait donc connaissance avec le commissaire Franck, et lui expose l’histoire depuis le début, sans oublier les récits étranges racontés par les enfants.

(Nous nous permettons d’inclure cette image dans une publication des plus sérieuses, parce que le personnage du « commissaire Franck » est proche d’une homme bien réel, qui dans sa quarantième année ressemblait assez à l’acteur Louis Jourdan, et dont la biographie comporte nombre de points communs avec celle de Dantès alias Monte Cristo … Très réaliste mais luttant pour les idéaux les plus élevés, ce combattant de l’ombre était un authentique héritier de la Résistance. )

(

Franck va chercher quelques dossiers contenant des rapports dactylographiés, des coupures de journaux et des photos. Sur l’une d’elles elle reconnaît Donatien, en compagnie d’autres personnes.
Franck explique à Françoise qu’il s’agit d’un RÉSEAU FRANC-MAÇON PÉDOCRIMINEL où l’on trouve des notables et des magistrats, et ajoute qu’il croit que l’assistante sociale Van de Helle  est leur complice.

Franck ouvre ses dossiers.
Des témoignages d’enfants victimes se recoupent parfaitement, alors que les enfants ne se connaissent pas : il y est question d’adultes le plus souvent cagoulés, de viols d’enfants, de tortures, d’invocations rituelles, de boissons droguées…
En fait la pédocriminalité de réseaux a partie liée avec le satanisme, et elle sévit en toute impunité sous la protection de mafias dont les membres se recrutent dans la politique, la magistrature, et bien évidemment chez des organisateurs d’activités regroupant des enfants.

Franck donne rendez-vous à Françoise pour quinze jours plus tard : quand elle revient, l’ex-commissaire a fait son enquête, et lui confirme que l’assistante sociale Van de Helle avait fait un rapport accablant contre Françoise qui était pourtant une personne sans reproche.

Van de Helle était impliquée dans d’autres affaires, où son rôle consistait à rabattre des enfants de mères célibataires ou divorcées, vers des réseaux pédocriminels dont les proies étaient des enfants placés dans des foyers de l’État.

Mais jusqu’à présent il avait été impossible de coincer Van de Helle, qui semblait jouir de hautes protections, et qui avait un train de vie plus élevé que ne le permettait son salaire…

Le Commissaire Franck explique alors à Françoise le rôle majeur des groupes sectaires francs-maçons dans la pédocriminalité de réseau.
Il la met en garde contre de fausses « associations de soutien », qui piègent les mères seules en faisant échouer leurs actions en Justice…

Franck donne encore bien des conseils à Françoise, et la renvoie vers un petit nombre de bénévoles à l’honnêteté éprouvée, qui combattent la pédocriminalité : ces personnes aideront Françoise à constituer des dossiers, à éviter les pièges tendus par certains magistrats corrompus, à faire des opérations médiatiques pour faire connaître son affaire au public, etc.

Mais pour Françoise et ses enfants Nina et Willy, ce sont des années de lutte qui commencent, avec tout ce que cela comporte de séparation et de souffrances…

Nombre d’affaires de pédocriminalité ressemblent à celle-ci.

 Selon les affaires, la répartition des magistrats, policiers, gendarmes et travailleurs sociaux dans le camp des « amis » et dans le camp des « ennemis » peut changer.

Mais toujours, l’ENFANCE est l’enjeu d’un affrontement qui dure depuis que le monde est monde : celui du bien contre le mal.

Or nous sommes à un moment de l’Histoire où cette lutte est d’une ampleur sans précédent dans tous les domaines : l’Enfance est en danger, parce que des forces maléfiques combattent ce qu’il y a de meilleur, ce qui reste d’innocence au genre humain. 
PARTIE 7.
MES ENFANTS ET MOI : MISE EN CONTEXTE ET RÉSUMÉ SIMPLE POUR COMPRENDRE LES SOUFFRANCES ET LES LUTTES D’UNE FAMILLE BRISÉE.

(Ci-dessous : Celly, Ritchy et Stacy).

(Ci-dessous : Sylvie avec son père Georges Heffinger, un homme « à l’ancienne », avec le sens de l’Honneur et le respect de la parole donnée.)

Née en 1972 et d’origine alsacienne, j’ai pourtant vécu l’essentiel de ma vie dans les grands ensembles de la région parisienne.

On associe souvent ce milieu à la violence des bandes, à l’immigration sauvage, aux dealers, mais la réalité est plus complexe et parfois plus positive : on peut aussi nouer là des amitiés fortes avec des gens vrais qui ont souvent le cœur sur la main, et qui enrichissent notre culture par leurs souvenirs ramenés de tous les pays du monde.

Le chômage frappe certes massivement, et l’entraide entre les familles pauvres est quelquefois bien nécessaire pour manger, mais ceux qui trouvent un travail ne craignent pas de travailler dur ! Certains ont des journées bien remplies entre leurs études et leur job pourtant rebutant parfois…

Les jeunes désœuvrés peuvent se laisser happer par les bandes de hooligans alcoolisés…
Mais d’autres, plus nombreux qu’on ne pense, occupent intelligemment leur temps libre, par exemple en faisant du sport ou de la musique : certains arrivent à en vivre…

Les mamans de ces quartiers populaires font tout ce qu’elles peuvent pour éviter que leur progéniture tourne mal.
Elles apprennent parfois le français avec les manuels scolaires de leurs enfants.

Entre elles il n’y a plus de races : elles se rencontrent à la crèche, échangent des conversations animées et colorées de mots exotiques, pouponnent ensemble dans les espaces verts, organisent leurs courses collectives dans l’inévitable supermarché…
Les bonnes cuisinières font profiter toutes les autres des plats délicieux cuisinés selon les recettes de leurs pays d’origine – ou selon la version populaire de l’art de Paul Bocuse…

C’est là que j’ai rencontré monsieur Situ Pébé, d’origine africaine, et c’est lui qui m’a donné mon fils Ritchy âgé de seize ans, et mes deux jumelles Celly et Stacy qui ont quatorze ans (en 2016).

Ce sont des enfants intelligents, à l’esprit bien disposé, et nous aurions pu être une famille heureuse : ne dit-on pas que l’argent ne fait pas le bonheur ?

Cependant mon concubin Situ Pébé avait des problèmes personnels que je ne pouvais l’aider à résoudre, et qui le rendaient parfois violent : nous avons dû nous résoudre à la séparation, et la garde des enfants fut répartie entre nous deux selon des règles incompréhensibles…

Comme un divorce, une séparation entre concubins est un déchirement par la force des choses, et le Droit en accentue le caractère conflictuel : c’est ce que nous avons vécu, et nos enfants en ont pâti…

Mais aujourd’hui Situ Pébé est travaillé par le sentiment chrétien, et il reconnaît volontiers que je suis une bonne mère.

En 2010 arriva l’incident grave qui a tout déclenché : mon fils Ritchy qui vivait avec Situ Pébé et la compagne de celui-ci, revint me voir avec une blessure que cette femme lui avait faite au pénis avec les ongles.
Sans doute n’était-elle pas dans un état normal à ce moment-là…

Les filles quant à elles, avaient à se plaindre d’une certaine rudesse de leur père, que celui-ci regrette aujourd’hui…

Je fis examiner Ritchy par un médecin qui constata la blessure, et je déposai une plainte : sans le savoir, j’entrais avec mes enfants dans un engrenage infernal !

La plainte fut classée sans que l’on sache trop pourquoi…

Mais la situation de notre famille avait attiré l’attention de l’ASE 94 – l’Aide Sociale à l’Enfance du Val-de-Marne.

Depuis, ce que nous vivons mes enfants et moi s’appelle l’enfer !

Les enfants ont été arrachés à mon ex-concubin et à moi-même, pour être placés dans divers foyers et familles d’accueil : ils y ont fréquemment été maltraités !

Stacy en particulier, a subi des VIOLS répétés, notamment dans le cadre de son placement au Foyer de Sucy-en-Brie, avant qu’elle soit placée dans des familles d’accueil changeant sans cesse, sans espoir de bonheur ni la moindre stabilité…
Rien ne justifiait le placement de cette enfant brillante et équilibrée, dans un centre pour enfants handicapés mentaux !

Aujourd’hui les viols ont cessé, mais Stacy est réduite au silence par la prise d’un médicament dangereux formellement déconseillé par un médecin : l’administration a semble-t-il commis un faux, pour tenter de faire croire que j’avais donné mon accord à cette monstruosité !

Stacy fut brièvement libérée grâce à l’intervention d’une lieutenante de police, mais des personnes malveillantes de diverses administrations ont bloqué les suites judiciaires logiques de cette intervention, et soustrait des preuves médicales de ce qui s’appelle un CRIME envers une enfant !

Ritchy a subi des maltraitances psychologiques et physiques qui l’ont mis dans un état alarmant nécessitant des soins: un médecin a demandé que l’enfant soit examiné.
L’examen allait être fait, lorsqu’une éducatrice de l’ASE 94 a pris le médecin de vitesse, a ENLEVÉ l’enfant – c’est le seul mot qui convient… – pour l’emmener brusquement en train dans un Centre de Manosque dans le sud-est, loin du médecin qui aurait pu alerter la police !

Quant à moi, le plus souvent presque sans ressources , aidée seulement par quelques personnes de bonne volonté touchées par le sort de mes enfants et par le mien, je n’ai pourtant pas cessé de me battre pour que mes enfants soient plus heureux, et d’abord libérés de ceux qui leur font du mal !

Aussi avais-je retrouvé brièvement la garde de Ritchy et de Celly en 2011. Mais comme je voulais qu’un médecin les examine, alors c’est moi que l’on fit interner ! – quelques jours seulement, car un psychiatre refusa de se faire le complice d’un internement abusif, et me déclara saine d’esprit.

Ce ne sont que quelques péripéties de l’histoire, qui ne peut s’expliquer que de la manière suivante : un puissant RÉSEAU PÉDOCRIMINEL se cache au sein de l’AIDE SOCIALE À L’ENFANCE du VAL-DE-MARNE.

Ce réseau, comme tous ceux du même genre, a des membres placés aux postes-clés : travailleurs sociaux, médecins, personnalités politiques et magistrats essentiellement.

D’autres au contraire, refusent de se faire les complices de ces criminels ! : telle éducatrice de l’ASE 94 a démissionné pour ne pas couvrir les agissements de sa collègue, tel juge essaie de faire Droit à mes enfants et à moi-même, telle assistante sociale tente de me faire obtenir un logement et des soins médicaux parce je suis très souffrante, et quelques bénévoles essaient de m’aider comme ils peuvent…

En face de nous mais le plus souvent dans l’ombre, quelques personnes bien placées dans diverses administration multiplient les manœuvres pour détruire mes enfants et moi :
– maintien de Stacy sous l’effet d’un médicament qui l’abrutit pour qu’elle ne puisse pas parler ;
– soustraction de preuves dont des certificats médicaux ;
– blocage de mes demandes de logements alors que je suis prioritaire puisque je suis malade et que j’élève mon bébé dernier-né Leeroy ;
– non-versement arbitraire d’allocations qui me permettraient de survivre ;
– tentatives pour m’interner malgré l’avis d’un bon psychiatre ;
– difficultés incompréhensibles pour faire aboutir les démarches administratives les plus élémentaires, etc…

(Ci-dessous : un moment de joie, trop rare, avec Stacy et mon petit Leeroy. Mais cette photo date de 2017 : la situation a un peu évolué depuis l’année 2016 où le présent texte fut écrit.)

J’ai dénoncé nommément deux importants responsables de cette situation : le sénateur Christian Favier s’occupe des Foyers gérés par l’Aide Sociale à l’Enfance du Val-de-Marne, et Catherine Dellouche qui fut chargée de gérer le foyer de Sucy-en-Brie.
Ces personnes ont donc porté plainte contre moi pour « diffamation » : mes preuves les attendent devant la Justice…

Mais comme par hasard, il est à nouveau question de me faire examiner par un psychiatre, alors que je m’étais tirée avec avantage de cette épreuve : n’est-ce pas une manœuvre de plus pour soustraire les coupables à un redoutable déballage de preuves et de témoignages devant une Cour de Justice ?

Précisons d’ailleurs que Christian Favier avait été débouté d’une plainte précédente à mon encontre, et que Catherine Dellouche avait été mutée peu de temps après que j’aie protesté contre son comportement illicite selon moi…

Parmi les magistrats, les élus, les travailleurs sociaux ou les membres des forces de l’ordre, plusieurs personnes m’ont dit reconnaître l’action d’un réseau criminel derrière toutes les bizarreries et dénis de Droit dont mes enfants et moi-même sommes les victimes.

Le sort de Stacy, arrachée à l’école alors qu’elle était bonne éléve, et en danger grave à cause d’un médicament, a ému beaucoup de gens, et m’angoisse en permanence…

Ce que mes enfants vivent, ce que je vis, cet enfer quotidien, c’est le sort que connaissent d’autres familles de la région parisienne, du sud-est, et de quelques autres zones où les réseaux pédocriminels parviennent à placer leurs membres aux postes-clés de l’administration.

Des enfants emmenés dans des villas cossues ou dans des familles complices pour être violés par des membre de l’ « élite » jamais inquiétés ;
– des parents menacés, internés ou emprisonnés pour avoir résisté à plus forts qu’eux ;
– des plaintes légitimes qui seront classées sans suite ;
– des dossiers accablants dont les preuves disparaissent ;
– des plaignants qui perdent leur emploi sans savoir pourquoi… : tel est l’enfer que les réseaux pédocriminels instaurent partout où ils sévissent…

Un peu partout en France, des familles ont peur…
D’autres se battent !

Les réseaux s’attaquent volontiers aux familles monoparentales, pauvres, d’origine étrangère fréquemment : ces victimes sont plus vulnérables, et suscitent peu de sympathie auprès des milieux plus aisés qui auraient les moyens de les aider…

Mais tous les milieux sociaux peuvent néanmoins être menacés par le fléau de la pédocriminalité !

La pédocriminalité de réseaux n’est pas une fatalité : soutenir les victimes dans une affaire particulière, c’est la combattre en général.

Aidez-moi à retrouver mes enfants !

(Ici, Sylvie avec Leeroy en 2017 : un sourire pour surmonter le stress d’un combat permanent !)

PARTIE 8. OÙ EN EST-ON, DÉBUT 2017 ? UNE SITUATION CRITIQUE ET INHUMAINE.

(Partie en cours de rédaction : elle sera complétée, revue à la concision et profondément remaniée.)

Le 17 août 2016 eut lieu une audience au tribunal de Créteil : les magistrats devaient statuer sur le sort de mes enfants.

Afin de susciter un comité de soutien pour eux et pour moi, le tract que vous avez vu en début de site fut conçu par un ami, et bientôt placardé un peu partout dans le secteur du tribunal, par une toute petite équipe de bénévoles dignes de ma profonde reconnaissance.

En effet, les affaires de pédocriminalité sont très « sensibles », et les médias traditionnels répugnent à en rendre compte, notamment parce qu’ils craignent d’être accusés de diffamation.
Alors il faut recourir aux tractages, afin d’informer la population malgré des moyens matériels insuffisants : les réseaux pédocriminels attaquent souvent les milieux modestes, qui n’ont d’autre fortune que leur esprit de solidarité…

Fait remarquable, la juge Tardy qui présidait le Tribunal fut aimable, quoique dépassée par la situation : elle était à deux jours de la retraite, et le dossier était fort complexe…

C’était la huitième juge que je voyais en six ans, et comme d’habitude on ne m’avait guère demandé auparavant d’exposer ma version des faits touchant mes enfants !

Quant à Celly, Stacy et Ritchy, ce qu’ils auraient pu dire sur leur triste sort n’a jamais intéressé personne, en dehors de moi et de quelques amis fidèles !

Je n’ignore pas qu’il est interdit au Peuple de « discréditer la Justice », mais il n’en est nul besoin : elle le fait assez elle-même, si c’est ainsi qu’elle traite des enfants qui après tout n’ont subi « que » des séparations de leur mère sans la moindre raison avouable, des placements abusifs, des maltraitances, des abus sexuels, et l’administration de drogues dangereuses pour la santé physique et mentale !

Et tout cela, au nom du « Droit » !
Non, soyons juste : le « Droit » n’a strictement rien à voir avec toute cette affaire.

Quand une assistante sociale de l’ASE 94 commettait le rapt de Ritchy pour empêcher un examen médical, elle a bien commis un RAPT !
Quand des médecins corrompus ont drogués Stacy au Risperdal contre l’avis d’un vrai médecin spécialiste et en falsifiant un dossier pour faire croire que j’étais d’accord, ils ont bien commis un FAUX et un EMPOISONNEMENT !
Quand on m’a brièvement enfermée dans un asile de fous parce que je demandais LÉGALEMENT l’examen médical de mes enfants, l’administration a commis un INTERNEMENT ABUSIF.
Et je pourrais citer des dizaines de faits aussi graves, qui ne semblent pas déranger la Justice le moins du monde : les seules personnes qui jouissent de leurs « Droits », ce sont le sénateur Christian Favier et Catherine Dellouche qui me font comparaître pour « diffamation » – très logiquement d’ailleurs, et je trouve cela normal : c’est précisément devant la Justice que je veux porter les faits.

Mais si de mon côté je n’ai aucun Droit que je puisse faire respecter, alors les « Droits » exclusifs de mes adversaires deviennent un PRIVILÈGE absolument scandaleux !
Et lorsque je présente à la Justice des FAITS et des PREUVES qui accablent l’ASE 94, je trouve scandaleux que la réponse de la Justice soit une fois de plus de réclamer une expertise psychiatrique à mon encontre AVANT d’examiner les faits et les preuves, et non APRÈS si par hasard j’avais menti…

Rien de concret n’est sorti de l’audience du tribunal de Créteil : la situation des enfants a été maintenue sans changement.

Les sœurs jumelles ont continué à être séparées, et placées en foyers ou en familles d’accueil.
Celly était bien traitée.
Stacy fut « condamnée » à partager son temps entre une famille d’accueil où elle ne se sent pas très bien, et une Maison Psychiatrique à Rungis, où du Risperdal et du Tertian lui étaient administrés « pour la calmer » paraît-il, mais surtout pour la faire taire, et au mépris de ses Droits comme de sa santé.

Stacy… ( ce passage sera complété prochainement…)

… Fin décembre, j’ai reçu une lettre d’une juge : c’est la première fois depuis 2010, qu’une juge daigne me répondre ! 

 Pendant toutes ces années j’ai connu la rue, j’ai parfois été hébergée par des amis généreux, ou j’ai été trimbalée d’un foyer à un autre – et quels foyers ! : l’avant-dernier, le foyer Lataste situé dans le Loir-et-Cher à Herbilly-Mer, fut destiné naguère à d’anciens détenus, et il a gardé ses barreaux aux fenêtres…

 Mais moi je ne suis pas une criminelle, on me reconnaît bonne mère, et j’ai une hygiène irréprochable !

 Par contre je suis une femme handicapée à 80 % au moins : seules les magouilles ou les négligences de certains fonctionnaires me privent des ressources auxquelles j’ai DROIT !

Malgré mon patch de morphine, j’ai terriblement mal… Depuis des semaines, j’ai une fracture de fatigue à la hanche, et au foyer Lataste je devais encore monter ou descendre deux étages en ayant peur que mon bassin se brise sous mon poids – et que l’ASE me confisque alors mon bébé deux ans Leeroy, pour ne me le rendre qu’après en avoir fait une loque pendant des années, à coups de médicaments inutiles… 

En fait j’étais une prisonnière…

D’une façon arbitraire on me prive depuis des mois, d’une partie importante de mes allocations : pour manger et pour nourrir Leeroy, pour lui apporter tout ce dont il a besoin, je m’endette constamment, ou bien je reçois des dons de quelques personnes hélas peu fortunées, et dont la générosité est d’autant plus méritoire. 

 Des quantités de personnes de l’Action Sociale ou d’ailleurs ont prétendu m’aider : j’étais toujours paraît-il, sur le point de retrouver mes DROITS, bafoués comme ceux de mes enfants par les magistrats, bafoués par l’Aide Sociale du Val-de-Marne, bafoués par des médecins corrompus qui ont commis un FAUX EN ÉCRITURE pour faire croire que je les autorisais à empoisonner Stacy… Bilan de ces promesses : rien. Mais moi je me bats !

Mon Dieu, pauvre Stacy, comment ces salauds ont-il pu avoir tant de cruauté envers elle ? Il y a des gens à l’ASE ou dans d’autres administrations, qui devraient être jugés pour crimes contre l’humanité…

Je suis dans un nouveau foyer depuis décembre, près de Blois. Je partage une chambre avec une dame et son gamin : ils ont leur propre histoire, je les respecte bien que l’inverse ne soit pas évident, mais nous n’avons rien à nous dire, et j’aimerais qu’ils me laissent un peu dormir…

Je dois rester lucide pour m’occuper de Leeroy, qui aurait besoin d’un autre environnement…

Quelques amis me téléphonent, et me remontent le moral… L’un d’eux recueille mon histoire, et la consigne sur le site que vous lisez : je n’ai pas d’accès pemanent à l’internet…

Il y a quelques jours, j’ai dépensé mes dernières forces pour animer une manifestation de parents devant le Tribunal de Blois : nous étions nombreux, une juge et un groupe de travailleurs sociaux ont joint leur protestation à la nôtre, et des amis vont encore diffuser l’évènement…

Mais là j’ai tout donné : le café m’a permis de tenir le coup, mais ensuite il m’a fallu une semaine pour récupérer ! 

 Oui, je suis malade : ce qui m’aide à supporter cet état, parfois à me dépasser pour le vaincre, c’est l’amour pour mes enfants. C’est à eux que vont mes pensées, à mes amis, à d’autres parents que je connais, aux soutiens fidèles ou occasionnels qui prennent de leur temps et de leurs ressources pour m’aider à survivre et à faire avancer mon affaire, à mes compagnes de galère…

Une nouvelle travailleuse sociale semble maintenant décidée à m’aider : elle est éducatrice spécialisée, et se demande pourquoi on l’envoie vers moi, alors que je ne suis ni un gibier de prison ni une inadaptée…

 Elle constate avec indignation tous les dénis de Droit, toutes les marques de mépris humain dont on m’accable dans le but de me faire craquer : on veut que je m’effrondre, pour que je ne puisse pas envoyer les ennemis de mes enfants en prison !

–  » Madame Heffinger, pourquoi ces sanctions de la CAF ?

– Tous les prétextes leur sont bons : je crois que c’est quelqu’un du réseau qui donne des consignes : probablement la même ordure qui opposait un véto à toutes mes demandes de logement… L’un des derniers prétextes, c’était que selon eux je ne me seraispas rendue à une convoc pour avoir du boulot, alors que je suis invalide ! 

– Oui, c’est bizarre… Mais alors pourquoi n’envoyez-vous pas votre dossier de handicapée ?

– Il me manque un certificat médical, suite à mon examen par le docteur Descarpentries. C’est une femme qui exerce à l’hôpital de Blois. Au début, elle me recevait bien, puis brusquement ça s’est refroidi…

-Ça date de quand ? 

– De deux mois bientôt…

– Deux mois ? Elle se fiche de vous, ou quoi ? 

– Elle se fiche de moi ! 

– Je téléphone à l’hôpital de Blois… » 

L’accueil nous apprend que le docteur Descarpentries est partie en vacances : j’espère au moins que la neige était bonne !… 

Ce genre de comportement n’est pas l’exception : depuis 2010 mes enfants et moi sommes traités comme des chiens ! 

Tant mieux : ça me donne le droit de mordre !

 Un ami envisage de concevoir des tracts à distribuer autour de l’hôpital. 

 Nous n’avons plus qu’un choix : nous attaquer aux personnes-mêmes qui travaillent à notre destruction, en les discréditant auprès de leur entourage ! 

 Quand on n’est coupable de rien, et que l’on est pourtant privé de tous les DROITS, ne les a-t-on pas TOUS ? Cela s’appelle la RÉSISTANCE À L’OPPRESSION : curieusement la Constitution reconnaît ce Droit, sans pouvoir évidemment le limiter…

 PARTIE 9.

JE REFUSE UNE ÉNIÈME COMÉDIE JUDICIAIRE ET ADMINISTRATIVE !

QUELQUES MOTS SUR LA SECTE DES PSYCHOLOGUES SOCIAUX.

Février 2017 : je reçois une convocation pour le 21 du mois, pour m’entretenir avec madame Diallo, juge au tribunal de Créteil. 

 D’emblée, le ton est donné, il ne sera question que de ma fille Celly. Celly est certes victime du déchirement de notre famille, mais le foyer de Chatenay-Malabry la traite bien : elle y vit mieux qu’elle ne vivrait chez son père, qui est bien incapable de s’occuper de ses enfants – Situ Pébé ne fut sans doute violent que par faiblesse, mais si un légitime remords le tourmente aujourd’hui c’est toujours un homme faible, alors que le soin de ses enfants réclamerait une force d’autant plus grande qu’ils sont traumatisés par la vie.

 Il « s’occupe » de Ritchy comme il peut, c’est-à-dire en abandonnant à lui-même ce garçon qui par bonheur n’a pas de mauvais penchants… Mais quand il arrive que ses filles lui soient brièvement confiées, il ne trouve rien à leur dire : Celly ne parle qu’à un mur, et Stacy à un écran de télévision ou d’internet – pauvre Stacy, que l’ASE conditionne ainsi quand ce n’est pas avec de la DROGUE, pour l’empêcher de parler des dizaines de VIOLS qu’elle a subis avec la complicité de l’ÉTAT ! 

  Mais de Stacy, de ses souffrances, et des ordures de fonctionnaires qui en sont la cause, la juge Diallo ne veut pas me parler ! De ses soins dentaires et autres, laissés en plan, pas davantage… 

 La juge Diallo ne veut me parler que de Celly : ce serait probablement pour la restituer à son père, ce qui actuellement ne ferait du bien ni à monsieur Situ Pébé ni à sa fille. 

 Quant à mes Droits, l’idée n’a sans doute pas effleuré madame la Juge, que je pouvais en avoir : placée en régime semi-carcéral alors que je n’ai pas de casier judiciaire, moquée par des assistantes sociales et autres travailleurs sociaux qui tantôt me disent qu’ « on ne me retient pas si je ne suis pas contente » et tantôt me promettent un logement « imminent » DEPUIS SEPT ANS, écartée d’un logement social par le véto de personnalités politiques influentes, privée de certaines aides nécessaires par les intrigues méprisables d’une administration qui a reçu des ORDRES d’ « en haut », je vaux moins qu’un chien !

 Pourtant je suis connue comme une bonne mère pour mon petit Leeroy. Je compte bien lui enseigner ce que j’ai reçu de mes parents, et qui fait  cette valeur humaine qu’on ne trouve pas chez mes adversaires : l’Honneur, et le respect de la parole donnée ! 

 Revenons à Stacy. Les abus sexuels ont cessé depuis 2014 : l’ex-petite fille est de grande taille à présent, elle n’intéresse plus les tarés sexuels qui l’ACHETAIENT à l’ASE du Val-de-Marne pour la souiller de leur ordure. 

 Comme vous le savez, des médecins corrompus l’ont droguée pour qu’elle se taise, avec une substance qu’un médecin honnête a déclarée dangereuse pour elle, et ils ont commis un FAUX pour faire croire que j’étais d’accord avec leur CRIME. 

 On ne permet plus à Stacy de faire du sport : l’adrénaline réveille, annule l’effet de la drogue, et sans doute cette malheureuse gamine trouverait-elle des camarades compatissantes qui feraient connaître son récit, ignoble secret de l’ASE du Val-de-Marne…

 L’état de santé physique et psychologique de Stacy, s’est ressenti de ces mauvais traitements : un surpoids lui cause des problèmes vertébraux… Pas de soins.

 En 2010 une Cour d’Appel avait au moins reconnu qu’elle avait été « violée par des adolescents » : cela devait sans doute faire partie de sa « formation » avant d’être régulièrement abusée sexuellement par des notables, puisque le Tribunal de Créteil semble avoir trouvé cela normal, et n’a pas jugé bon d’instruire l’affaire – malgré une tentative de suicide… 

 C’est à ce même tribunal Créteil que l’on prétendait me faire revenir le 20 mars, alors qu’il est toujours aussi indifférent au sort de ma fille Stacy, et qu’en SEPT ANS je n’ai JAMAIS été invitée à m’exprimer sur le sort de mes enfants ! 

 C’est décidé, je ne me prêterai pas à cette comédie – et d’autant moins, que je n’ai pas du tout apprécié l’audace d’une magistrate qui osait récemment m’imputer des défauts de soins envers mes enfants : pourtant je n’en avais pas la garde, et je n’ai pas cessé de donner l’alerte à ce sujet, à une ADMINISTRATION qui a FAILLI !

 J’ai écrit une lettre pour justifier mon refus de me rendre à la convocation du Tribunal de Créteil : la farce judiciaire se jouera sans moi. 

 Par contre il se pourrait bien que je fasse juger la Justice française par les instances internationales, auxquelles je présenterai mes PREUVES le moment venu. On dit que la nouvelle politique américaine a rompu avec les « équivoques » assez troubles du régime précédent, s’agissant d’enfance et de sexualité : cela pourrait avoir des répercussions sur les politiques intérieures des états européens, spécialement ignobles surtout quant on considère celle de l’État français ! 

 Mais l’État français, à tout prendre ce n’est jamais qu’une administration : ce n’est pas la France ! 

QUELQUES MOTS SUR LA SECTE DES PSYCHOLOGUES SOCIAUX.

 Ils ne sont pas non plus la France, ces travailleurs sociaux dont certains sont humains – je l’atteste avec reconnaissance – mais dont d’autres ne sont que des lâches qui font du mal à une femme lourdement handicapée et à ses enfants innocents.

 Ces fonctionnaires de bas de gamme qui sont comme un État dans l’État, jouissent de privilèges dont la justification n’est pas claire, et d’un statut peu transparent. Ce sont aussi des fanatiques SECTAIRES endoctrinés par une sale idéologie : la « psychologie à la française », qui malheureusement a droit de cité dans les tribunaux, et au nom de laquelle des magistrats donnent tort à des citoyens honnêtes qui réclament Justice. 

Parlons-en, de la « psychologie à la française ».

 La « paranoïa », certes cela existe : on trouve parfois des gens qui se croient persécutés par des Martiens… 

 Mais cette authentique paranoïa est tout de même rare ! On abuse de cette notion qui fut très développée en France depuis les années 70, afin de psychiatriser les citoyens témoins ou victimes des malversations de notables mafieux. 

 La « psychologie à la française » est donc devenue une idéologie de stigmatisation contre les innocents, de haine contre les victimes, d’exclusion des faibles, au nom d’un ÉTAT censé avoir toujours raison – même contre la Raison elle-même : on est sidéré lorsqu’on lit dans un manuel de « psychologie » destiné aux travailleurs sociaux, que « le caractère irréfutable du délire est la preuve de la paranoïa » ! N’est-ce pas au contraire la PREUVE des FAITS dont le récit est considéré comme un « délire » ? 

 La « psychologie à la française » n’est qu’un « nazisme soft », un délire SECTAIRE conçu pour justifier la « supériorité » que certains travailleurs sociaux ont ont à leurs propres yeux.

 Certains, trop rares, ont été humains avec moi. Mais d’autres au contraire, ont eu des comportements qui évoquent les fameuses « heures les plus sombres de notre Histoire » : femme invalide et pourtant décidée à protéger mes enfants, comme à bien élever mon petit Leeroy, je me suis vu reprocher d’être une « assistée », par des travailleurs sociaux qui ont négligé de faire respecter mes Droits bien qu’ils soient grassement payés pour le faire ! On n’est pas loin de me considérer comme un de ces « tarés » que Hitler voulait éliminer…

 Au foyer de l’Astrolabe où je suis hébergée à Blois, je paie deux chambres pour le prix d’un appartement, tout en ne pouvant en utiliser qu’une : je ne puis y recevoir qui je veux sous peine d’en être chassée, je n’ai pas le droit de la fermer à clé, le personnel y fait irruption à tout moment comme si j’étais une folle dangereuse ou une délinquante détenue, etc. 

 On m’impose une éducatrice alors que je n’ai pas de casier judiciaire, certains membres du personnels me font des reproches continuels pour tenter de me culpabiliser…

 L’éducatrice me prétend qu’à la mi-mars elle aura une réunion avec le Conseil Général pour « voir si mon dossier d’adulte handicapée avance » : elle se garde bien de demander une enquête pour identifier la personne qui a ordonné aux fonctionnaires de bloquer ce dossier ou d’autres depuis des mois ! 

 Elle ne semble pas non plus très curieuse de savoir qui manœuvre dans l’ombre, pour que Leeroy et moi soyons exposés à des brimades et à des changements de situation incessants, qui nous empêchent de construire quoi que ce soit…

 Ce sont des faits vérifiables, pas de la paranoïa.

 Je suis malade… Ma hanche pourrait craquer…  Mes nerfs aussi bien que je sois extrêmement résistante, comme l’est souvent une mère dévouée aux soins de son enfant… Leeroy ne comprend pas, il devient agité… On cherche à nous faire craquer ! On voudrait m’hospitaliser, et me le prendre…

 Tous les deux mois, une « évaluation » a lieu en ce qui me concerne : d’elle dépend mon maintien au foyer – bien cher, pour les conditions qu’il offre à mon enfant et à moi-même… « Si vous n’êtes pas satisfaite, personne ne vous retient », me dit souvent un personnel de profiteurs qui lui gagne bien sa vie, sans remplir sa part du contrat : il est censé m’aider dans mes nombreuses démarches administratives, mais en réalité c’est moi qui fais tout… 

 Cette comédie administrative a assez duré : pour offrir une vie plus acceptable à mon petit Leeroy, il faut que je parte de cette demi-prison !

 (Début mars, j’y parviens, mais pour le moment rien n’est certain : à tout moment je peux retomber dans la précarité, me retrouver encore à la rue, etc. Je m’en remets à la bienveillance de Dieu…)

  PARTIE 10. SE MÉFIER POUR SURVIVRE : DÉJOUER LES MANŒUVRES PERMANENTES DES ADMINISTRATIONS DE LA HAINE…

 21 Février, Tribunal de Créteil : une audience à huis clos réunit des magistrats, qui statuent sur le sort de Celly. Ils sont certainement beaux à voir dans leur toge, mais je ne suis pas d’humeur à me rendre au Carnaval : je pense à Stacy, dont ils ne diront mot. 

 Certains de leurs collègues magistrats sont responsables, si des pervers ont violé Stacy, et souillé son âme qui était plus blanche que l’hermine qui borde leurs déguisements : je ne participe donc pas à cette mascarade.

 Ils prennent pourtant une bonne décision – je n’ai pas le droit de le dire, le Droit français contenant une disposition odieuse qui interdit au Peuple de commenter les décisions que la Justice rend en son nom… Mais c’est une bonne décision : Celly est maintenue au foyer de Chatenay-Malabry où elle est bien traitée, plutôt que rendue à son père qui ne saurait que faire d’elle… 

 Le sort de Stacy fut certes moins enviable ! Viols, drogue sous un prétexte « médical »… Tout se paira.

  Je suis inquiète d’une proposition de l’Action Sociale à l’Enfance du Val-de-Marne : l’ASE 94 voudrait que Celly soit placée en internat dans un lycée d’excellence. En temps ordinaire je m’en réjouirais, mais là je me méfie : vu les gens qui l’expriment, l’intention pourrait n’être pas innocente…

 Celly est considérée comme une « surdouée », je n’ai pas envie qu’on lui farcisse le cerveau avec un enseignement déformé par la Théorie du Genre et par toutes sortes de thèses bien-pensantes qui sont autant de contre-vérités…

 Celly n’est d’ailleurs pas tentée par le port d’un uniforme de Lycéenne : peut-être a-t-elle senti le danger… Quant à moi, ce que je redoute c’est l’uniformisation de son esprit, son embrigadement dans une future « élite » qui n’est en France qu’une Milice du pouvoir : il est plus digne d’appartenir à la Résistance. 

 Je porte volontiers un treillis de commando : je veux rendre les coups au Système.qui a violé ma fille Stacy, et qui fait encore le malheur de tous mes enfants ! 

 Avec Jean, un ami qui vient de me propose un hébergement, nous concevons une arme inattendue : un label qui regrouperait des chanteurs contestataires ! 

 Son logo existe déjà : un lion coiffé de tresses rasta – des « dreadlocks » comme disent les connaisseurs, et portant un casque audio sur les oreilles. Laroots Records est né ! Bientôt vont peut-être émerger de nouveaux Brassens et de nouvelles Joan Baez, inlassables chanteurs à guitare qui réunissaient les gens dans la joie musicale, leur rappelant aussi les valeurs éternelles de l’Humanité par leurs textes d’une poignante sincérité.

 Je  rêve… 

Mes ennemis, eux, ne rêvent pas ! : ils trament de sombres et détestables intrigues… 

 À la mi-mars une réunion a lieu à l’Aide Sociale à l’Enfance de Blois, entre le CHRS (Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale) de Blois que je viens de quitter, et madame Berthelot qui est l’assistante sociale du Conseil Général de.Blois – personne que je suis fondée à trouver nuisible : elle n’a rien fait pour faire avancer mes dossiers dans aucun domaine, ni quant au logement, ni quant au handicap physique que j’endure toute la journée… 

 Le CHRS aussi, avait promis que j’aurais un logement : en deux ans mon petit Leeroy a connu vingt lieux d’hébergements différents, domiciles précaires et toujours inadaptés… Promesse non tenue : le CHRS avait pourtanr signé une engagement écrit !

 J’ai donc dit au CHRS que je partais chez Jean, à Onzain dans le Loir-et-Cher où Leeroy sera probablement plus heureux que dans une prison à peine déguisée… 

 Le CHRS réagit mal en voyant sa prisonnière s’évader : ils font un signalement sur moi au sujet de mon petit Leeroy et de Jean !

 Quelle honte !!! 

Oui, quelle honte, quand on sait que le CHRS est partiellement responsable l’agitation de mon petit  Leeroy qui y vivait dans des conditions déplorables, et sans intimité ! 

 Le CHRS oublie que des médecins et travailleurs sociaux HONNÊTES m’ont reconnue « bonne mère » ! Et que Jean m’apportait à manger quand les centres d’hébergement me laissaient crever comme un chien… 

 Ces gens aimeraient me prendre aussi  mon plus jeune fils, Leeroy, qui a deux ans…

Par mesure de précaution, je vais faire examiner Leeroy par un psy qui ne soit pas complice de ces gens.

 Mais celle que je plains, c’est Stacy : elle n’est pas heureuse dans sa famille d’accueil, et on ne lui fait plus faire du sport qui lui permettait de tenir le coup face auxtraumatismes subis – des VIOLS !  . Veut-on la faire craquer pour lui  imposer encore des cachets qui la transforment en zombie ? 

Elles sont bien ténébreuses, les manœuvres de certains services de l’État… 

PARTIE 11. LA COLOMBE S’EST ENVOLÉE ! OÙ JE M’EXILE EN SUISSE, ALORS QU’UNE ADMINISTRATION HORS-LA-LOI TENTE DE M’INTERNER.

 NAISSANCE D’UN RÉSEAU DE RÉSISTANCE.

 Revenons un moment au début de mon affaire, en 2010. Quelques mois seulement me séparaient des premiers évènements concernant mes enfants, mais j’avais déjà compris que l’Action Sociale à l’Enfance du Val-de-Marne (ASE 94) était noyautée par une organisation criminelle – ou qu’elle était cette organisation criminelle… 

 Je savais qu’une rude bataille m’attendait, aussi je cherchais une possibilité pour gagner les sommes nécessaires au financement de mes frais de Justice. 

 Mais où trouver de l’argent, quand on n’a pour survivre qu’une allocation d’adulte handicapée, et de rares petits boulots compatibles avec une santé altérée ? 

 Je ne pouvais guère compter sur mon métier de chanteuse… Pourtant, lorsqu’un musicien suisse de mes amis m’invita à venir le voir à des fins professionnelles, j’acceptai, et me rendis chez lui en Confédération Helvétique – non sans une certaine  angoisse, à l’idée de m’éloigner ainsi de la France que mes  parents m’ont appris à aimer, et de mes enfants que j’y savais maltraités.

 C’était, pensais-je, pour revenir en France rapidement : si l’argent est un mauvais maître, on dit que c’est un bon serviteur, et j’étais résolue à mettre mon trésor tout neuf au service de mes enfants. 

 Hélas le projet musical avorta… 

Mais si nulle grotte de Monte Cristo remplie d’or ne m’attendait en Suisse, ce voyage m’évita une incarcération dans quelque château d’If réservé à ses opposants par un État aux dérives totalitaires ! 

 J’allais repasser la frontière vers la France, lorsqu’on m’appela au téléphone : j’eus du mal à reconnaître la voix amicale de ma voisine de quartier, tant elle était haletante et déchirée par l’angoisse. 

–   » Allo, Sylvie ?… ALLO, SYLVIE ??? SYLVIE ???…

– Oui, bonjour ! Qu’y a-t-il, ma pauvre, tu as l’air toute retournée…

– Ah, enfin c’est toi  ! Ne plaisante pas, Sylvie, « ils » veulent t’enfermer chez les fous ! Ils te guettent, ils sont armés, ils sont venus trois fois chez toi ! Ils ont tout cassé… Surtout, ne reviens pas en France !… » 

 J’eus d’autres détails par un second coup de téléphone, venant cette fois de mon fils aîné Dylan, alors âgé de dix-sept ans (il ne sera question de lui que dans cette partie du site : je ne veux  pas attirer l’attention sur lui, au risque de lui nuire).

 Les policiers locaux s’étaient en effet rendus COUPABLES d’un GUET APENS répété, dans l’intention de commettre un RAPT : c’est, de manière incontestable, la manière dont le Droit qualifie l’action de s’emparer par surprise d’une citoyenne honnête à qui aucun délit n’est reproché, et qui n’a même pas fait de tapage ou de trouble mineur de l’ordre public. 

 Des policiers accompagnés d’une ambulance avait fait enfoncer la porte de mon appartement d’Ivry par les pompiers, avaient tout renversé pour chercher on ne sait quoi (de l’argent, peut-être, pour rémunérer un acte de barbouzerie distinct des tâches légales de la police ?…),  et ils étaient venus ainsi trois jours de suite à des heures imprévisibles pour m’arrêter, avant de faire changer les serrures par un artisan pour que je ne puisse plus entrer chez moi !  

 Dylan expliqua au commissariat d’Ivry que n’avais rien fait de mal, et demanda à entrer à mon domicile afin d’y récupérer ses livres d’étudiant… 

 Le policier qui le reçut était gêné : il était sans doute conscient de cette grave violation du Droit. Il lui permit de récupérer les clés, et l’invita à se rendre à la mairie d’Ivry pour en savoir plus. 

 Mon fils Dylan fut alors reçu par une employée de mairie qui lui avoua sa surprise, et lui apprit le reste : le coup monté avait été fomenté par le maire d’Ivry (aujourd’hui décédé), avec l’assistance matérielle du préfet du Val-de-Marne (complice, ou peut-être seulement trompé par le maire, je ne sais…), et la complicité du docteur Ryad Karmouss. 

 Parlons-en, de celui-là ! Il est bien connu que les médecins de Molière sont d’autant plus sûrs de leur science, qu’ils sont ignares : celui-là est leur maître à tous, puisqu’il sembla se croire capable de diagnostiquer un trouble psychologique chez moi, sans m’avoir examinée ! 

 Il est vrai que certaines sectes d’initiés font croire à leurs membres qu’ils possèdent des pouvoirs surhumains… C’est notamment le cas des groupes pédo-satanistes, que pour ma part je jugerais plutôt « inhumains » – voire sous-humains, car la haine absolue est indigne même d’une bête, et l’abandon total aux bas instincts les apparente plutôt à de la vermine… 

 Je commis l’imprudence de retourner brièvement en France, et sans doute ai-je échappé de peu à une arrestation. 

 Il me sembla en effet qu’un nombre anormal de voitures de police passaient lentement dans les lieux où je venais de me rendre, à la recherche de quelqu’un. Je croyais être prudente, et mon ancienne activité de comédienne m’avait appris l’art de me rendre méconnaissable… 

Soupçonnant que j’étais géolocalisée à cause de mon téléphone portable, je coupai celui-ci – précaution qui serait insuffisante aujourd’hui en 2017… – et je m’abstins même d’utiliser ma carte bancaire qui permettait elle aussi de me suivre à la trace. Ces conseils m’avaient été donnés par une personne impliquée dans l’activisme anti-pédocriminel, et je pus me rendre en Suisse sans remarquer quoi que ce soit d’anormal – au prix de quelques déguisements qui auraient fait rire mes enfants, si ces malheureux avaient été capables de rire malgré leur sort injuste et inhumain…

 À Lausanne, je trouvai une association qui défendait les mamans obligées de fuir la France pour les mêmes raisons que que moi : pendant trois ans, nous nous soutenions mutuellement, et nous commençâmes à constituer ce qui s’appelle incontestablement un RÉSEAU DE RÉSISTANCE. 

 En 2013 je revins en France, décidée à faire valoir mes DROITS et ceux de mes ENFANTS – à Lausanne, j’avais appris le Droit français !

 Mais le noyautage de l’administration locale était trop profond : le Droit y comptait pour rien ! 

 Je pus obtenir pourtant de revoir mes enfants, et plus encore, mais je commis alors une imprudence : je fis savoir que j’allais faire examiner par un médecin mes enfants maltraités. 

 Aussitôt, une assistance sociale de l’ASE 94 commit un RAPT D’ENFANT pour soustraire Ritchy à l’examen médical, et quant à moi je fus internée immédiatement !

 Mais par bonheur ce coup monté par des fonctionnaires corrompus, avait été ficelé hâtivement : je fus examinée par une psychiatre qui n’était pas complice du réseau de pédophilie, déclarée SAINE D’ESPRIT et libérée au bout de neuf jours ! 

 Ce dernier point, et le fait que l’on ne m’inculpât de rien à mon retour de Suisse, montre bien que la tentative d’internement qui m’avait poussée à fuir à l’étranger, était  bien une coup monté fomenté par une association de malfaiteurs noyautant l’administration.

  PARTIE 12. JUSTICE FRANÇAISE ET PÉDOPHILIE : EXTRAITS D’UN DOCUMENT OFFICIEL DU RAPPORTEUR SPÉCIAL DE L’ORGANISATION DES NATIONS UNIES. CASSETTE DE ZANDWOORT : CE QUE LE RAPPORTEUR N’A PAS DIT…

 En avril 2002, le Rapporteur Spécial de l’ONU lisait un rapport devant des Organisations Non Gouvernementales, au sujet des violations des Droits humains dont des ENFANTS étaient victimes : en particulier la vente de ces enfants, leur PROSTITUTION, et leur emploi dans la pornographie. 

 Voici des phrases extraites de ce rapport (il s’agit d’une transcription libre, mais la teneur générale du texte est bien respectée. Les situations évoquées par le Rapporteur Spécial de l’ONU sont assez comparables à celle que vit Sylvie Heffinger, à une importante différence près : monsieur Situ Pébé, ex-mari de Sylvie Heffinger, n’est pas un pédocriminel – il regrette d’ailleurs les conséquences des manœuvres d’une administration corrompue à l’encontre de ses enfants) : 

“Un nombre croissant de citoyens français, souvent des femmes, ont fui la France avec leurs enfants pour demander l’asile politique à la Suisse. Ces personnes ont expliqué que suite à un divorce, la Justice française leur avait imposé d’abandonner la garde leurs enfants à un conjoint qu’elles accusent d’actes pédophiles envers ces enfants. Il est aussi question d’actes pédophiles commis en réunion, par des groupes fréquentés par l’autre parent, pédophile.”

 “De nombreuses personnes du système judiciaire français connaissent l’existence de ce phénomène de fuite de parents demandeurs d’asile, et en nient l’existence.”

 “Il y a aussi des juges et des avocats français, conscients des carences du système judiciaire de leur pays, qui conseillent OFFICIEUSEMENT aux parents de fuir à l’étranger avec leurs enfants… …pour protéger leurs enfants contre de nouveaux abus sexuels que ceux-ci pourraient subir.” 

 “En France, des pressions directes ou implicites s’exercent contre les médecins, pour les dissuader de constater des abus sexuels subis par des enfants : ils peuvent être poursuivis en Justice si leurs constats n’aboutissent pas à la condamnation des pédophiles incriminés, et le Conseil de l’Ordre des Médecins ne les soutient pas. Certains médecins hésitent donc à constater des abus sexuels… privant ainsi les parents d’une preuve, et les enfants, de la protection qui leur est due.” 

(Note concernant le dernier paragraphe, et reprenant une remarque de monsieur Stan Maillaud, activiste anti-pédocriminalité : l’expression “le Conseil de l’Ordre ne les soutient pas” est un euphémisme pour dire qu’en fait le Conseil radie fréquemment les médecins qui dénoncent des faits pédocriminels, quand ces faits ne sont pas reconnus par la Justice. On ne s’en étonnera pas, alors que le professeur Joyeux a été lui-même radié de l’Ordre en 2016 après avoir dénoncé la dangerosité de certains vaccins, sur la foi de preuves pourtant bien établies…)

 Le Rapporteur Spécial de l’ONU aurait pu ajouter quelque chose d’important au sujet des parents qui avaient demandé l’asile en Suisse. La police fit visionner à certains d’entre eux des extraits de la fameuse CASSETTE DE ZANDWOORT, document vidéo mélangeant des montages et des images authentiques, et constitué par les services secrets d’un grand pays, afin de tenir par le chantage certains politiciens d’Europe occidentale. 

 Sur la cassette qu’on leur fit visionner, des parents reconnurent leurs enfants, violés, torturés, ou tués. 

 L’un des adultes pédophiles qui y fut identifié, était un magistrat français : son nom fut couvert par le Secret Défense, et dans plusieurs pays la Justice tenta d’imposer une « version officielle » prétendant que la cassette était inauthentique. 

 En réalité elle est authentique, et elle révèle l’existence d’un réseau de pédophilie international. 

PARTIE 13.UN ENLÈVEMENT D’ENFANT SE PRÉPARE ! (Article indépendant intégré au présent site, et qui est publié séparément sur le site alertevoldenfant.wordpress.com).

Aller au contenu principalALERTE ! ILS VEULENT ENLEVER MON ENFANT ! Une mère de famille dénonce les AGISSEMENTS CRIMINELS de certains fonctionnaires.

Par Sylvie Heffinger. 

1 L’AMOUR MATERNEL EST SACRÉ !

– « Encore une de leurs dégueulasseries ! Décidément ces s… ne changeront jamais ! » C’est l’exclam­ation qui m’est venue ce 14 avril 2017, en découvrant le con­tenu d’une lettre que je venais de recevoir.

 Puis je repris : – « Après m’avoir  laissé crever invalide, voilà qu’ils veulent me prendre mon petit Leeroy !… »

 C’était le Vendredi Saint, et ce jour-là j’aurais préféré exprimer quelque chose de plus recueilli que ces cris d’amertume d’une maman malade mais résolue à bien élever son enfant Leeroy, que des gens innommables cherchent à lui arracher. 

 Le week-end de Pâques a commencé : croyants ou non, tous les hommes reconnaissent à la simple lecture du Calendrier, combien le destin de l’Humanité fut marqué par la vie de Celui qui mourut torturé par l’occupant romain pour avoir prêché l’Amour. Il en sortit une religion universelle.

 Deux-mille et quelques années après, la petite bonne femme qui vous parle ne se sent pas grand chose à côté de ce grand Monsieur, Jésus… Mes souffrances physiques, je ne les ai pas choisies pour accomplir une noble mission : la maladie me les impose, et ma volonté s’est forgée à les surmonter.

 Mais il y a quelque chose de sacré, de « religieux » dans l’amour d’une mère, et moi aussi des  » occupants » veulent m’arracher ma VIE. S’ils ne sont pas romains, ils en ont la férocité sinon le courage, et ce qu’ils veulent c’est me VOLER MON DERNIER ENFANT, après m’avoir volé les trois autres et leur avoir fait beaucoup de mal…

 2 JE VEUX FAIRE PARTAGER MA RÉVOLTE.

C’est à mes enfants que va ma compassion : je voudrais aussi contribuer à sauver les vôtres, car les enfants de France sont réellement en danger.

Nous sommes des centaines de familles en France aujourd’hui, à avoir subi ce qu’il faut bien apoeler des RAPTS D’ENFANTS, de la part d’une sece mafieuse regroupant des notables et des fonctionnaires au sein d’un grand RÉSEAU PÉDOCRIMINEL – un « réseau de pédophilie », en langage courant. 

 Je veux vous faire partager ma révolte contre ce réseau pédocriminel, dans l’espoir qu’un jour proche ou éloigné le voie renversé puis jugé pour ses CRIMES : c’est pourquoi je vous relate une anecdote de mon long combat mené pour que les DROITS de mes enfants et les miens soient enfin respectés. (Les détails précis de mon affaire se trouvent dans d’autres chapitres du présent site.)

Mais il est temps que je me présente !

3 MA PETITE FAMILLE.

Je suis Sylvie Heffinger, née en 1972, d’origine alsacienne et mère de cinq enfants. J’ai été chanteuse dans des styles populaires, mais depuis des années je suis une femme handicapée : néanmoins je ne désespère pas d’exercer à nouveau une activité artistique, si je parviens à stabiliser ma situation – je suis sans domicile fixe… 

 Mon premier enfant, Dylan, est un garçon sans histoires, et qui travaille.

 Ayant vécu dans les banlieues multi-communautaires de la région parisienne, j’ai vécu en concubinage avec un homme d’origine africaine, dont j’ai eu trois enfants : Ritchy qui a 17 ans en 2017, et les jumelles Celly et Stacy qui ont quinze ans.

 Une séparation conflictuelle survenue en 2010 a brisé évidemment mon ménage, et Celly, Stacy et Ritchy ont été placés dans des familles d’accueil et dans des FOYERS gérés par l’AIDE SOCIALE À L’ENFANCE DU VAL-DE-MARNE (ASE 94) sous la responsabilité générale du sénateur CHRISTIAN FAVIER – et naguère, de sa subordonnée CATHERINE DELLOUCHE, directrice des services de l’Enfance à Ivry-sur-Seine. Nous allons voir qu’une véritable tragédie est sortie de là : je les dénonce parce qu’ils en sont la cause.

MENURechercALERTE ! ILS VEULENT ENLEVER MON ENFANT ! Une mère de famille dénonce les AGISSE MENTS CRIMINELS de certains fonctionnair esPar Sylvie Heffinger. 1 L’AMOUR MATERNEL EST SACRÉ !– « Encore une de leurs dégueulasseries ! Décidément ces s… ne changeront jamais ! » C’est l’exclam ation qui m’est venue ce 14 avril 2017, en découvrant le con tenu d’une lettre que je venais de recev oir Puis je repris : – « Après m’avoir lais sé crever invalide, voilà qu’ils veulent me prendre mon petit Leeroy !… »  C’était le Vendredi Saint , et ce jour- là j’aurais préféré exprimer quelque cho se de plus recueilli que ces cris d’amer tume d’une maman mal ade mais résolue à bien élever son enfant Leeroy, que des ge ns innommables cherc hent à lui arracher…  Le week-end de Pâqu es a commencé : croy ants ou non, tous les hommes reconnaisse nt à la simple lectu re du Calendrier, combien le destin de l’Humanité fut marqué par la vie de Celui qui mourut torturé par l’occupant romain parce qu’il avait prêché l’Amour : il en sortit une religi on universelle.  Deux-mille et quelq ues années après, la petite bonne femme qui vous parle ne se sent pas grand chose à côté de ce grand Monsieur, Jésus… Mes souffrances physiq ues, je ne les ai pas choisies pour accomplir une noble miss ion : la maladie me les impose, et ma volonté s’est forgée à les surmonter.  il y a quelque chose de sacré, de « religieux » dans l’amour d’une mère, et moi aussi des « oc cupants » veulent m’ arracher ma VIE. S’i ls ne sont pas romai ns, ils en ont la férocité sinon le cour age, et ce qu’ils ve ulent c’est me VOLER MON DERNIER ENFANT, après m’ en avoir volé les trois autres et leur avoir fait beaucoup de mal…2 JE VEUX FAIRE PARTAGER MA RÉVOLTE. Mais il y a quelque chose de sacré, de « religieux » dans l’amour d’une mère, et moi aussi des « oc cupants » veulent m’ arracher ma VIE. S’i ls ne sont pas romai ns, ils en ont la férocité sinon le cour age, et ce qu’ils ve ulent c’est me VOLER MON DERNIER ENFANT, après m’ en avoir volé les trois autres et leur avoir fait beaucoup de maC’est à mes enfants  que va ma compassion :  je voudrais aussi contribuer à sauver les vôtres, car les enfants de France sont réellement en danger.Mais il y a quelque chose de sacré, de « religieux » dans l’amour d’une mère, et moi aussi des « oc cupants » veulent m’ arracher ma VIE. S’i ls ne sont pas romai ns, ils en ont la férocité sinon le cour age, et ce qu’ils ve ulent c’est me VOLER MON DERNIER ENFANT, après m’ en avoir volé les trois autres et leur avoir fait beaucoup de mal… sommes des cen taines de familles en France aujourd’hui, à avoir subi ce qu ’il faut bien appeler des RAPTS D’ENFANT S, de la part d’une secte mafieuse regro upant des notables et des fonctionnaires au sein d’un grand RÉSEAU PÉDOCRIMINEL – un « réseau de péd ophilie », en langage courant. Je veux vous faire partager ma révolte contre ce réseau pédocriminel, dans l’es poir qu’un jour proc he ou éloigné le voie renversé puis jugé pour ses inexpiables CRIMES : c’est pou rquoi je vous relate une anecdote de mon long combat pour que les DROITS de mes enfants et les miens soient enfin respec tés. Les détails de mon affaire, les écl airages sur la pédoc riminalité de réseau x, vous les trouverez sur d’autres sites (par exemple sylvieetsesenfants.wordpre ss.com, dont le cont enu sera transféré ailleurs si le site est censuré) : ici, vous ne vous trouverez que quelques faits, mais significatifs et propres à vous immerger tout de suite dans une problémat ique grave et méconn ue. 3 MES ENFANTS ET MOI. Je suis Sylvie Heff inger, née en 1972, d’origine alsacienne et mère de cinq enf ants. J’ai été chant euse dans des styles populaires, mais depuis des années je suis une femme handic apée : néanmoins je ne désespère pas d’e xercer à nouveau une activité artistique, si je parviens à stabiliser ma situati on – je suis sans do micile fixe… Mon premier enfant, Dylan, est un garçon sans histoires, et qui travaille. Ayant vécu dans les banlieues multi-com munautaires de la ré gion parisienne, j’ai vécu en concubinage avec un homme d’or igine africaine, dont j’ai eu trois enfa nts : Ritchy qui a 17 ans en 2017, et les jumelles Celly et Stacy qui ont quinze ans. ne séparation conf lictuelle survenue en 2010 a brisé évide mment mon ménage, et Celly, Stacy et Rit chy ont été placés des familles d’accueil et dans des FOYERS gérés par l’AIDE SO CIALE À L’ENFANCE DU VAL-DE-MARNE (ASE 94) sous la responsab ilité générale du sé nateur CHRISTIAN FAV IER – et naguère, de sa subordonnée CATH ERINE DELLOUCHE, directrice des services de l’Enfance à Ivry-sur-Seine. Nous allons voir qu’une vé ritable tragédie est sortie de là…
Mais j’avais décidém­ent une vocation pour la maternité ! : en 2014, au cours d’u­ne brève période de stabilité qui m’a fa­it croire que ma sit­uation matérielle in­stable allait s’amél­iorer rapidement, j’­ai accouché d’un pet­it Leeroy qui va vers ses trois ans… 

 Cependant mon handi­cap physique s’est aggravé, et l’avenir n’a pas tenu ses pro­messes… 

 4 ABUS SEXUELS CONTRE UNE DE MES FILLES, AU SEIN DE L’AIDE SOCIALE À L’ENFANCE. 

Surtout, l’action malveillante de ceux qui ont eu la garde des  enfants issus de mon concubinage, fut la cause de grand­es souffrances pour eux, spécialement po­ur Richy et pour Sta­cy. STACY A SUBI DE NOMBREUX ABUS SEXUEL­S.

 En effet l’AIDE SOC­IALE À L’ENFANCE, do­nt le rôle officiel est de protéger la jeunesse, est mise à profit par un RÉSEAU PÉDOCRIMINEL qui l’­infiltre, et qui s’en sert comme d’une « réserve de chasse » où des pédophiles puissants et fortunés  n’ont qu’à choisir leurs proies. 

 C’était déjà le cas en 1982, quand écla­ta le scandale de l’­Affaire du Coral : il s’agissait comme souvent aujourd’hui, d’abus sexuels perpé­trés par de hautes personnalités, à l’en­contre d’enfants handicapés. Paul Barril, ex membre du GIGN, révéla qu’il avait reçu l’ordre de ne plus enquêter sur ces hauts personnages ! 

 L’affaire du Coral, celle d’Outreau, en Belgique celle de Dutroux, les scandales concernant l’impun­ité de pédophiles au­to-revendiqués, les scandales concernant la complaisance de l’Éducation Nationale envers des profess­eurs pédophiles main­tes fois dénoncés vo­ire condamnés, tout cela révèle INCONTES­TABLEMENT L’implicat­ion de fonctionnaires corrompus des ÉTATS nationaux dans la PÉDOPHILIE ORGANISÉE. 

5 LES TENANTS ET LES ABOUTISSANTS DE LA PÉDOCRIMINALITÉ DE RÉSEAUX.

 Si le rôle des SECT­ES pratiquant des ri­tes sexuels particul­iers est indéniable, la « raison » pour laquelle les États se déshonorent en cou­vrant ces crimes est sans doute plus ter­re-à-terre : au même titre que les diama­nts ou les escort gi­rls, les enfants doi­vent servir de « mon­naie »pour faciliter la signature de gra­nds contrats concern­ant l’ÉCONOMIE – not­amment l’importation de denrées alimenta­ires, de biens de co­nsommation et d’éner­gie fossile. 

Corrélons en effet, le fait que tel mini­stre cité dans une fameuse affaire pédoc­riminelle soit aussi connu pour sa proxi­mité avec le monde arabe, avec le fait que depuis 2012 l’Édu­cation Nationale man­ifeste une double ob­session de sexualisa­tion précoce et d’en­seignement de la lan­gue arabe aux jeunes enfants, et nous au­rons peut-être compr­is le fin mot de l’h­istoire !… : la prét­endue « élite » fran­çaise semblerait bien n’avoir rien trouvé d’autre que de ven­dre les enfants, pour faire tourner une économie devenue maf­ieuse, tandis que les authentiques talen­ts capables de relev­er la France en sont empêchés ! (Précisi­on importante puisque j’ai parlé du monde arabe : les Musulm­ans condamnent la pé­dophilie, et ils élè­vent leurs enfants dans une pudeur parfa­ite.)

6 EN LUTTE, PRESQUE SEULE CONTRE UNE MAFIA DE FONCTIONNAIRES CORROMPUS. 

 Mais voici quelques faits concrets conc­ernant mes enfants, moi-même, et les res­ponsables de ces mal­heurs : leur chronol­ogie précise se trou­ve ailleurs, il s’ag­it de vous faire sen­tir ce que vivent des centaines de famil­le aujourd’hui même. 

 Ma fille Stacy s’est plainte d’ABUS SEX­UELS qu’elle a subis au foyer de Sucy-en­-Brie de la part de jeunes « camarades », puis de la part des adultes auxquels elle a été livrée apr­ès avoir été droguée à cet effet. S’agis­sant des viols par des jeunes gens, la Justice a reconnu tim­idement les faits, sans pouvoir ou sans vouloir leur donner de suite adéquate. 

 Mais par la suite des médecins corrompus ont commis un CRIME ! : négligeant l’a­vertissement d’un mé­decin intègre qui so­ulignait la dangeros­ité d’une certaine drogue pour Stacy, ils ont drogué continuellement ma fille av­ec ce produit afin de lui faire perdre la mémoire quant aux viols qu’elle a subis ! Et auparavant ils ont commis un FAUX EN ÉCRITURE pour fa­ire croire que j’ava­is donné mon accord à ce que j’appelle cette TENTATIVE DE ME­URTRE ! 

 Une courageuse lieu­tenante de police  a brièvement libérée Stacy ! Mais des fon­ctionnaires corrompus ont bloqué les sui­tes judiciaires de l’affaire, laquelle aurait dû se traduire logiquement par des condamnations à la réclusion criminelle ! 

 Ayant constaté que mon fils Ritchy prés­entait des traces de blessures laissées sans soin alors qu’il était sous la resp­onsabilité de l’Aide Sociale à l’Enfance du Val-de-Marne (ASE 94) dont le sénate­ur Christian Favier est responsable, j’ai annoncé que j’alla­is  faire examiner l’enfant par un médec­in. Une ASSISTANTE SOCIALE DE l’ASE 94 est alors intervenue : elle A ENLEVÉ L’EN­FANT, l’emmenant bru­squement dans le sud­-est de la France à seule fin de le sous­traire à un examen médical qui eût été accablant pour l’admi­nistration ! – donc, directement ou non,  pour le Sénateur… 

 Quasiment seule et sans moyens, j’ai po­ursuivi une bataille judiciaire pour fai­re respecter les Dro­its de mes enfants et les miens : ce fut d’autant plus diffi­cile, que la plupart des avocats craigne­nt de s’attaquer à un système administra­tif corrompu dont ils sont les bénéficia­ires indirects – voi­re pour certains, les complices… 

 J’ai pu tout de même retrouver brièveme­nt la garde de Ritchy et de Celly en 201­1. Décidément imprud­ente, j’annonçai mon intention de les fa­ire examiner par un médecin. ON ME FIT INTERNER POUR CETTE SEULE RAISON ! Par bo­nheur un psychiatre intègre me déclara SAINE D’ESPRIT, et me fit libérer au bout de neuf jours car il ne voulait pas se faire le complice d’­un internement abusi­f. 

 7 RÉPRESSION ADMINISTRATIVE.

Mais chaque fois que je pointe des FAITS gênants pour une administration corrom­pue, au lieu de les vérifier les autorit­és me menacent d’un internement : il ne fait pas bon s’oppos­er à un sénateur, en France !… 

 J’ai pu faire établ­ir des PREUVES de ce que j’allègue ici, en faisant appel à des SPÉCIALISTES COMP­ÉTENTS qui ont exami­né mes enfants et mo­i-même : des médecin­s, des psychologues, des pédopsychiatres, que j’ai fréquemme­nt rémunérés avec mes maigres ressources sans pouvoir être remboursée. Actuellem­ent, mon petit Leeroy est suivi, à mon initiative. 

 Par contre, à QUI l’administration corr­ompue a-t-elle confié la mission de me discréditer, de préte­ndre que je mentirai­s, de me promettre vainement des soins, des revenus décents et un logement ? L’A­dministration a fait appel à des IMPOSTEURS ! On m’a imposé une ribambelle de fa­ux psychologues en réalité non habilités ; de médecins fauss­aires en écriture et parjures au serment d’Hippocrate au poi­nt d’empoisonner Sta­cy avec de la drogue ; de « magistrats » sans honneur qui ont feint d’ignorer les DÉNIS DE DROITS fr­appant mes enfants et moi-même ; de « ju­ges » qui en sept ans n’ont pas daigné m’interroger substant­iellement pour que je puisse exposer enf­in un autre point de vue que celui de l’­Aide Sociale à l’Enf­ance du Val-de-Marne ! 

 Depuis que j’ai dén­oncé les manquements de l’Aide Sociale à l’Enfance du Val-de­-Marne, dont le séna­teur Christian Favier a la responsabilit­é, que d’ennuis avec les administrations ! 

 Relayée ensuite par d’autres personnes, une mairie du même parti que le sénateu­r, a opposé un veto à mes demandes de lo­gement, ce qui m’obl­ige à errer d’héberg­ement provisoire en hébergement provisoi­re, alors que mon pe­tit Leeroy aurait be­soin de stabilité… 

 8 PRIVÉE DE TOUT : UN ASSASSINAT SOCIAL. 

Même chose pour mon RSA que n’ai pas to­uché pendant des moi­s, sous des prétextes inconsistants et absurdes.

 Même chose pour mon dossier de handicap­ée, qui n’avance pas depuis des mois… 

 Alors je galère pour me loger, je m’end­ette ou je reçois des dons charitables pour que MON ENFANT puisse manger, dussé-­je me priver comme toute bonne mère le ferait à ma place. 

9 LUTTE EN JUSTICE.

 J’ai légitimement dénoncé le Sénateur Favier et sa subordon­née Catherine Dellou­che de l’Aide Sociale à l’Enfance du Val­-de-Marne. Ils ont déposé une première plainte pour « diffam­ation » contre moi : la plainte fut clas­sée, et Dellouche fut mutée peut-être à cause de cela. 

 Mais alors, la Just­ice n’avait-elle pas le devoir de poursu­ivre le sénateur, ou du moins d’ordonner une enquête, vu la gravité de mes accus­ations contre lui ? 

 Une seconde plainte de sa part est en cours de traitement. L’administration vou­drait me faire suivre par un psychologue afin de déterminer ma crédibilité : n’e­st-il pas plus simple de vérifier les FAITS ? Et ne suis-je pas fondée à éprouver une SUS­PICION LÉGITIME vu l’identité de ce psy ? En effet, il travaille pour une association créée par un magistrat qui eut en charge le  centre d’enfants ha­ndicapés du CORAL à l’époque de « l’affa­ire », et que la Jus­tice déclare n’être que le « sosie » d’un pédophile dont on voit la photo sur la Cassette de Zandwoo­rt…  

 Je ne suis pas la première à accuser le sénateur Christian Favier. Une vidéo vi­ent de réapparaître, qu’une censure à la promptitude jugée « suspecte » par cert­ains, avait fait dis­paraître de l’intern­et. On y voit un hom­me d’origine africai­ne, qui paraît sensé quoique véhément et indigné, s’adressant à la foule  le 14 janvier 2008, au tribunal de Fresnes où les gens étaient ven­us nombreux à cause du procès de l’Arche de Zoé  – procès où une association hum­anitaire ou censée l’être, fut jugée pour avoir voulu emmener des enfants africa­ins en France dans des conditions suspec­tes. L’homme dit être un ex-employé à la Mairie de Fresnes, et avoir à se plaind­re de Christian Favi­er sur qui il porte des accusations grav­es. Vérité, ou affab­ulation ? En tout ca­s, l’absence d’une « procédure de vérifi­cation des faits all­égués » est une regr­ettable lacune du Dr­oit.

10 LA GALÈRE DE FOYER EN FOYER.

Depuis des années, lorsque je ne suis pas hébergée par des personnes compatissan­tes je suis trimbalée d’un foyer à un au­tre. Je m’efforce d’­apporter à Leeroy to­ut ce qu’une mère ap­porte à son enfant, mais il est évident que ce n’est pas le genre de lieu où un enfant peut s’épanou­ir. 

 Souvent le règlement des foyers pourrait être qualifié de semi-carcéral ». Or je n’ai pas de casier judiciaire, et ne suis pas une détenue en libération condit­ionnelle, et c’est pourtant ainsi que je suis traitée ! 

Je viens de passer quelques semaines au Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (CHRS) de Blo­is : là comme ailleu­rs, j’ai mis un point d’honneur à vivre dans une propreté ab­solue, et à accomplir tous mes devoirs de mère auprès de mon petit Leeroy – ce qui m’a valu l’estime de certains médecins qui s’accordent po­ur me reconnaître bo­nne mère.

 Mais ce n’était pas assez, pour être re­spectée par l’Admini­stration, et pas dav­antage par l’encadre­ment du CHRS. On m’i­mposait une éducatri­ce comme si j’étais une délinquante, et certains membres du personnel m’ont marq­ué systématiquement du mépris et de l’hostilité : avant de « m’évader » de là en mars 2017, je n’ai plus compté les mauv­aises réflexions dans le style « si ça ne vous convient pas, personne ne vous re­tient ! » Et ces pro­pos si dignes de la fraternité républica­ine étaient infligés à une femme handica­pée : vous apprécier­ez cette marque d’humanité…

 Et s’il n’y avait eu que cela ! 

Au CHRS de Blois, je payais mon loyer. Pourtant je ne jouiss­ais pas pleinement de la pièce que je lo­uais : une autre mam­an l’occupait aussi avec son enfant ! Par chance, après un début de cohabitation difficile nous avons fini par nous ente­ndre à peu près… 

 De plus je n’avais pas le droit de ferm­er la porte à clef, et le personnel fais­ait irruption à toute heure sans frapper ! Espérait-on me su­rprendre nue, en tra­in de faire ma toile­tte ? 

 J’ai eu l’impression constante que l’on cherchait à me prov­oquer, à m’épuiser – ma maladie est doul­oureuse, et souvent j’en dors mal… – à me faire « craquer », « péter les plombs », et donner ainsi à l’administration un prétexte pour m’imp­oser  la psychiatrie, et me priver de mon dernier-né.

11 UNE ADMINISTRATION QUI NE TIENT PAS  SA PAROLE.

 Le Centre d’Héberge­ment et de Réinserti­on Sociale (CHRS) de Blois, s’était enga­gé par contrat, à m’­aider dans divers do­maines : rétablir mes revenus dont j’éta­is privée arbitrairement, faire avancer le renouvellement de mon dossier de hand­icapée, remplir mes papiers administrati­fs, me faire accéder dès que possible à un vrai logement adapté à mon état de sa­nté et à l’équilibre de mon fils Leeroy, etc. 

 Le CHRS de Blois n’a tenu aucun de ses engagements ! 

L’administration m’a imposé depuis des mois une assistante sociale, toujours la même, toujours AURÉL­IE BERTHELOT en dépit de mes déplacements géographiques et de mes demandes de ch­angement la concerna­nt. 

  Cette personne m’e­st hostile ou du moi­ns se fiche de moi, elle n’a pas fait son travail elle non plus : mes Droits, mes revenus bloqués ar­bitrairement pendant des mois, mon dossi­er de handicapée qui reste en rade, mon logement nécessaire pour apporter du bie­n-être et de la stab­ilité à Leeroy qui devient agité, ma san­té qui justifie une aide à domicile, ce n’est pas son problè­me… 

 Tout ce qui l’intér­esse, c’est de confi­er mon fils Leeroy à une famille d’accue­il – à laquelle je ne pourrais jamais le reprendre, évidemme­nt…  

 Quant à mes autres enfants, n’en parlons pas ! : vouloir fa­ire respecter leurs DROITS c’est précisé­ment m’opposer à l’a­dministration pour laquelle travaille ma­dame Aurélie Berthel­ot… 

 Mon éducatrice au CHRS de Blois m’a annoncé qu’une réunion se tiendrait en mars 2017 au Conseil Général de Blois : Aurélie Berthelot qui s’y trouvait, n’y a pas défendu mes Droits, ni ceux de mes enfants ! 

 Aurélie Berthelot n’a pas davantage dem­andé que l’on identi­fie les personnes qui bloquent mes dossi­ers administratifs, encore moins qu’on les poursuive en Justi­ce : les loups ne se mangent pas entre eux ! 

 Mais c’est faire be­aucoup d’honneur à madame Aurélie Berthe­lot, que de la compa­rer à un loup : un loup, ça attaque en face, ça a du courage ! C’est plus noble que les hyènes qui ne s’attaquent qu’à des bêtes à moitié cr­evées : c’est à une demi-charogne que do­it me comparer cette meute de l’administ­ration, qui s’acharne après une femme à moitié infirme souffrant physiquement et inquiète pour ses enfants. Ils guettent lâchement pour savoir comb­ien de temps je tien­drai le coup sans so­ins ou sans manger… 

 12 UNE LETTRE ADMINISTRATIVE PLEINE D’HYPOCRISIE, ET QUI ANNONCE UNE MENACE.. 

Lisez en effet la lettre que je découvr­ais au début de cette publication, et qui est un chef-d’œuvre d’hypocrisie : 

« Madame, pour faire suite au rapport ét­abli par L’ASSISTANTE SOCIALE DU SECTEUR NORD-LOIRE-PAYS DE CHAMBORD, je vous informe que la situati­on de votre enfant, Leeroy, est portée à l’attention des aut­orités judiciaires qui détermineront le soutien qui peut lui être apporté.  Je vous prie d’agréer, Madame, l’expression de ma considération distinguée. Pour le Président du Conseil Départemental, et par délégation, le re­sponsable de la CRIP­. » (Signature illis­ible).

Traduction : « Nous voulons vous prendre votre fils ; quant à vous, vous pouvez crever. » 

Personne ne dit son nom, et nulle enquête n’a été faite ! On ne m’a rien demandé : seuls seront cons­ultés les employés du CHRS qui me sont hostiles ou qui n’ont pas fait leur boulo­t, et l’assistante sociale Aurélie Berth­elot qui est dans le même cas. 

 En fait, ces gens essaient de me prendre de vitesse, parce qu’ils se sont doutés que j’allais signa­ler leurs manquemants à qui de Droit !  Et en même temps, ils gagneront sans dou­te de l’argent s’ils parviennent à me vo­ler Leeroy : peut-êt­re l’ignoriez-vous, mais certaines catég­ories de personnel social touchent des primes quand elles pl­acent les enfants.

 Pour eux, les enfan­ts ce n’est qu’un bu­siness… 

Moi aussi, je manœuv­re de mon côté : par cette publication j’essaie de leur port­er un coup d’arrêt en étalant leurs comb­ines devant l’opinion publique. 

 Qui gagnera ? 

13 UN ÉTAT FRANÇAIS MORALEMENT DÉGÉNÉRÉ.

Revenons à la lettre, signée par la resp­onsable de la CRIP : la CRIP, c’est la CELLULE de RECUEIL des INFORMATIONS PRÉOCCUPANTES. 

Si c’était à Montreu­il et non pas à  Blo­is, je leur signaler­ais comment les auto­rités locales couvre­nt les deux ou trois pédophiles qui y violent les enfants da­ns deux écoles, et la mairie prétend men­songèrement que la maladie vénérienne co­ntractée par l’un d’­eux pourrait s’attra­per « à la piscine ». Ni la Justice, ni la police, ni le pré­fet, ni la Presse n’­ont démenti ce menso­nge, ni ordonné ou réclamé l’inculpation du maire pour ce me­nsonge ou pour l’un des quatre ou cinq chefs d’inculpation dans le cas desquels il s’est placé : que­lle honte !… 

Qu’en dit Aurélie Be­rthelot ? Je l’invite à dire publiquement qu’elle condamne cette saleté dont tout le monde semble co­mplice ! 

Si nous étions à Mar­seille et non pas à Blois, je signalerais à la CRIP la forte présomption qu’un noyau de pédophiles agit au sein du Conse­il Régional de Prove­nce-Côte d’Azur. Il n’y a que cela qui puisse expliquer l’EX­POSITION ZOO-PÉDOPHI­LE DU BERLINHARD DE MARSEILLE EN 2015, soutenue par le GOUVERNEMENT représentée par la ministre FLEUR PELLERIN. 

 Les « peintres » ex­posés au cours de ce­tte APOLOGIE DE LA PÉDOPHILIE, représent­aient de nombreuses scènes dans le genre que je vais décrire. Une petite fille faisant un strip-tease érotique devant un homme adulte. Une petite fille se faisa­nt lécher les parties intimes par un CHI­EN-LOUP. Une petite fille encore, subiss­ant la même chose par un adulte représen­té comme un diable à la langue démesurée. 

 C’est ça, aujourd’h­ui, la culture de l’État français : PERS­ONNE au sein de l’Ét­at, n’a protesté pub­liquement contre la ministre, et des jou­rnalistes complices des RÉSEAUX DE PÉDOPHILIE ont (vainement) tenté de faire cro­ire que tout ceci n’­était qu’une « rumeur de l’extrême-droit­e » ! 

Mais les preuves sont là !

Tôt ou tard, les ord­ures qui ont favorisé la diffusion de ch­oses comme ça – APPR­OUVÉES PAR UNE MINIS­TRE DE L’ÉTAT FRANÇA­IS je le rappelle, payeront ce crime con­tre l’Enfance. 

 14 DES VŒUX, ET DE L’ESPÉRANCE.

J’invite ici les fo­nctionnaires honnêtes qui auront lu la présente publication, à se considérer com­me déliés de leur se­rment envers la partie corrompue de l’Ét­at, qui se dévoile par de telles ignomin­ies : certains de le­urs devanciers ont sauvé l’Honneur de la France en refusant de livrer des Juifs à l’occupant nazi, n’y aura-t-il pas dans la fonction publique actuelle de nouveaux Résistants qui refuseront de livrer les enfants de France à des pédophiles ?

 J’invite les citoye­ns à ne pas reconnaî­tre l’autorité de ce­ux qui souillent l’E­nfance de leurs perversions, et à refond­er une France fondée sur l’Amour, la dig­nité et le respect humain.

Quant à moi, je n’accepterai jamais l’injustice : ni contre mes enfants,  ni contre moi, ni contre qui que ce soit au monde.

Bonnes fêtes de Pâques à tous !

PARTIE 14. MON PROCÈS EN DIFFAMATION EST POUR LE 1er JUIN 2017 !

(À suivre).

PARTIE 15 :  EN LUTTE CONTRE UN RÉSEAU DE PÉDOPHILIE ! DES FAITS, DES NOMS, DES DATES POUR RETRACER LES BATAILLES D’UNE GUERRE QUI EST AUSSI CELLE DE TOUTES LES FAMILLES D’ENFANTS MALTRAITÉS.

(À suivre….)

PARTIE 16 : L’ESPOIR.

(à suivre).

( SITE EN COURS DE CONSTITUTION ).

//////////////////////////////
CE SITE NE SERA PLUS ACTUALISÉ : NOUS VOUS CONSEILLONS D’ALLER SUR lovewelcome2.wordpress.com pour connaître les développements de cette affaire, qui devrait trouver une conclusion conforme aux exigences de la Morale.

 Allez aussi sur alertevoldenfant2.wordpress.com , et sur sylviemilitantehumanitaireparle.wordpress.com où vous pourrez lire et écouter le CRI DU PREMIER DÉCEMBRE 2017 , qui contient un nouvel APPEL particulièrement retentissant de Sylvie Heffinger. 
(Pour connaître l’affaire de Montreuil, où presque toutes les institutions locales collaborent pour cacher des viols commis sur des jeunes élèves, allez sur enfanceetpolitique.wordpress.com .
 Pour connaître la lutte de Farida Belghoul contre la corruption de mineurs en milieu scolaire, allez sur justecombat.wordpress.com .
 Pour connaître le problème de l’endoctrinement des jeunes par la Théorie du Genre, allez sur alertemedia.wordpress.com .)
Publié le juillet 25, 2016
par sylvieheffinger
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1 commentaire
Une réflexion sur “LE COMBAT D’UNE MÈRE POUR RETROUVER SES ENFANTS, VICTIMES DE LA PÉDOPHILIE DE RÉSEAUX.”

ADEL
dit :
décembre 4, 2016 à 7:44 Modifier
bs sylvie je suis de tous mon cœur avec toi moi aussi je vis la même situation avec l’ASE CETTE MAFIA

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